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PARITE HOMME- FEMME EN POLITIQUE

Les attaquants se font souvent remarquer dans une équipe, parce que ce sont eux qui marquent les buts. Seulement, si on construisait une équipe de foot avec seulement des attaquants on ne pourrait pas s’en sortir. En politique, c’est la même chose, les femmes se font moins remarquer mais restent indispensable donc si on construisait un gouvernement qu’avec des hommes, on ne pourrait pas avancer.

Ce n’est qu’en 1945 que les Françaises acquièrent la pleine citoyenneté grâce au droit de vote. Mais la faible représentation des femmes, ainsi que les arguments sexistes employés pendant l’élection présidentielle de 2007, alimentent le débat sur la parité hommes-femmes en politique.

La République des Hommes

La Vème Republique est marquée par une transformation profonde du personnel politique. Les hommes exercent un « monopole légitime » de la politique. En effet, les hauts fonctionnaires de l’Etat issus de l’Ena (Ecole nationale d’administration) sont des hommes. Or es femmes ne représentent, jusque dans les années 1970, qu’à peine 10% des promotions de l’Ena.

 La monopolisation du pouvoir par les hommes sous la Vème Republique

La personnalisation du pouvoir, au niveau local ou au niveau national, favorise la symbolisation d’un homme, un homme fort. Il faudra attendre la présidence de Valerie Giscard d’Estaing pour connaître une féminisation des institutions politiques. François Mitterand accentue le mouvement, en nommant une femme Premier ministre en 1991, Madame Edith Cresson. Cependant les femmes n’apparaissent encore que comme les « femmes du Président » comme les appelait à l’epoque les médias. En 1997,2002 et 2007, les elections legislatives marque un progrès laissant toutefois la France à l’avant-dernier rang de l’Union Européenne, juste devant la Grèce. Globalement , la part des femmes parmi les élus progresse vite dans les elections de liste (parité obligatoire) mais beaucoup plus lentement dans les elections de tête ( representation unique) où les felles doivent affronter seules les prejuges sexistes.

 Les resistances à l’entree des femmes dans l’arène politique

Les principales resistances rencontrées par les femmes dans la vie politique viennent du milieu politique lui-même lorsque les hommes se donnent du monsieur machin par ci ou du monsieur le ministre par la , les femmes n’ont le droit elle qu’a une appelation par leur prenom. Après Edith Cresson, discreditée parce qu’elle était une femme, la contestation sexiste de la candidature de Ségolene Royal,en 2007, a bien montré la persistance des prejuges,y compris venant d’une partie de l’electorat feminin.

De ce fait, les hommes politiques ont une vision très conservatrice de la place de la femme dans la sociéte. Les temoignages de candidates aux elections montrent qu’elles sont soumise à un harcelement

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