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Question 1

Cette étude de cas mentionne plusieurs entreprises se concurrençant pour être reconnues comme la plus écologique.

a) Faites une recherche sur Internet portant sur l’une de ces entreprises ou sur tout autre fabricant d’ordinateurs. Résumez les grandes lignes de leur politique en matière d’environnement, à partir de leur site Web et/ou d’articles d’actualité discutant de leur politique.

Tout d’abord, il est important de mentionner qu’Apple était considéré comme l’une des plus faibles entreprises en matière des énergies renouvelables. Force est de constater qu’il s’agit maintenant de la société ayant le plus progressé sur le plan écologique. Voici, en bref, les aspects auxquels l’entreprise a fait des progrès : Changement climatique, ressources renouvelables (énergie solaire, géothermie, pile à combustible, énergie éolienne, microcentrales hydroélectriques), ressources limitées, substances toxiques.

Elle collabore avec l’organisme The conservation Fund afin de créer et protéger des forêts qui produisent la matière première qui est nécessaire pour la fabrication de leurs emballages. Une microcentrale hydroélectrique a été mise sur pied afin d’alimenter le centre de données de l’entreprise. Une centrale solaire est en cours de construction afin de prendre en charge les besoins en énergie pour les bureaux et les boutiques (Chine). Ils sont conscients de l’impact que leurs produits produisent sur l’environnement et ils tentent de diminuer l’empreinte en carbone. L’utilisation de l’énergie et des matériaux se fait de manière plus efficace, à partir de sources plus vertes. Les produits Apple dépassent les normes Energy Star. «Le dernier modèle de Mac Pro est fabriqué avec des matériaux hautement recyclables, en plus d’être exempt d’ignifugeants bromés et de PVC, ce qui le rend encore plus sûr pour l’environnement.» Dans un optique de limiter l’utilisation des eaux potables, Apple utilise un système de refroidissement qui recycle l’eau 35 fois et bien plus encore.

b) Comparez cette politique aux recommandations du rapport du Club Informatique des Grandes entreprises françaises, « Du green IT aux SI écoresponsables ». Indiquez en quoi cette entreprise répond aux indicateurs d’une organisation écoresponsable et ce qu’elle devrait mettre en place.

Les membres du rapport ont identifiés plusieurs axes du radar de maturité CIGREF qui sont organisés en 5 grands thèmes. En premier lieu, on retrouve la conformité réglementaire et gestion des risques, qui comporte tout le cadre de référence et la gouvernance RSE et Green IT. On met de l’avant la capacité d’Apple à réduire l’empreinte environnementale. Ensuite, on note l’aspect relations humaines où les comportements doivent être adaptés en matière de Green IT, sans oublier les côtés sociaux et sociétaux. Les modes de déplacement des employés sont de plus en plus écologique. Des vélos ont été mis à leur disposition ainsi que des voitures électriques. «Plus du tiers de nos 15 000 employés à Cupertino pourront ainsi se rendre au travail en empruntant nos autobus au biogaz ou les transports en commun municipaux. » Apple fait les efforts nécessaires afin d’utiliser de l’énergie propre et renouvelable, tout en accompagnant leurs fournisseurs pour qu’ils fassent de même. En troisième lieu, il est donc question de la relation avec les fournisseurs. Il faut procéder à des achats éco-responsables et on recycle ce que l’on peut. Tous les Apple Store récupèrent les produits Apple, via un programme de réutilisation. Ils se doivent de mettre en place une manière de réutiliser ces matériaux, par contre. Les Datacenters n’utilisent que de l’énergie renouvelable. Avant dernier axe, la partie Green IT 1.0. Il s’agit ici de réduire l’empreinte écologique, économique et sociale du système d’information via les matériaux utilisés, les impressions, les projets, etc. Dans le cas d’Apple, ils utilisent des matériaux provenant de forêts certifiées pour la gestion durable ou de matières recyclées afin d’emballer leurs produits. Ils souhaitent alimenter toutes les installations en énergie renouvelable : énergie solaire, géothermie, pile à combustible, énergie éolienne et microcentrales hydroélectriques. Dernièrement, on tâche de réduire les déplacements. En diminuant le transport fréquent des marchandises, on diminue l’émission de gaz à effet de serre. Apple a mis à la disposition des employés, des bornes de recharge pour véhicules électriques.

Outre tous les points positifs qui ont été mis de l’avant, dans le dernier paragraphe, il faut souligner un aspect des plus importants et qui touche les consommateurs. La compagnie Apple devrait mettre en place une méthode de contrevenir à l’obsolescence programmée. Les matériaux utilisés pour la fabrication des téléphones, tablettes et ordinateurs sont de plus en plus efficaces en terme de durée de vie. Par contre, les mises à jour des logiciels font en sorte qu’on les utilise moins longtemps. Il est question d’obsolescence programmée lorsque les modèles se multiplient, les déchets s’accumulent et que les ressources naturelles s’affaiblissent. Ce phénomène pèse également sur le pouvoir d’achat des consommateurs sans oublier l’appauvrissement de la population. Un autre point à améliorer serait que la fabrication des produits, en provenance de la Chine, nuit au transport. Les conditions de travail sont aussi à améliorer. Un reportage laisse comprendre que les ouvriers n’ont pas accès à des conditions adéquates. Ils sont fatigués, stressés et doivent travailler jusqu’à seize jours en ligne avant d’avoir accès à une journée de repos.

Question 2

Ce sont les défis soulevés par l’utilisation des TI dans le système de santé américain (dont la principale différence avec le système canadien est qu’il est entièrement privé) qui sont présentés dans cette étude de cas.

Grosjean et Bonneville, dans leur article «Logiques d’implantation des TIC dans le secteur de la santé», soulignent que c’est une logique issue du marché et du secteur privé, la logique technico-économique, qui préside l’intégration des TI dans le système de santé quasi public québécois.

a) Résumez ce qu’est cette logique technico-économique, en la mettant en parallèle avec la logique médico-intégrative.

Une logique technico-économique vise avant tout un impératif productif. Le premier constat est la raison économique

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