Synthèse et analyse de texte thème extraordinaire bts cg
Dissertation : Synthèse et analyse de texte thème extraordinaire bts cg. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Claire Soriano • 12 Avril 2018 • Dissertation • 1 748 Mots (7 Pages) • 707 Vues
Synthèse
Les catastrophes naturelles font partie des choses que les humains ne savent pas contrôler. Elles ravagent tout sur leur passage, elles sont incontrôlable, et leurs dégâts souvent considérables. Elles marquent les esprits depuis des millénaires, on les voit dans les livres d'histoire (comme l'éruption du Vésuve sur Pompéi), et depuis quelques années les catastrophes naturelles deviennent de plus en plus puissantes. Certaines aussi prennent une autre dimension, un séisme peut donner lieu à une explosion nucléaire comme pour la catastrophe de Fukushima par exemple. Le premier document, qui est un article tiré du magasine « le politique » et écrit par F. Brussy nous annonce le thème de ce corpus. L’article de RE Dagorn du magasine « les grands dossiers de sciences humaines » nous le confirme. Par la suite, l’extrait du poème de Voltaire sur le désastre de Lisbonne, paru en 1756 ou de la photo de Bento-Rodrigues représentant un village à la suite d’une catastrophe en novembre 2015, nous rappellent à quel point ces catastrophes sont dramatique. Ce corpus mène tout droit vers la problématique suivante : Les catastrophes naturelles et leurs dégâts sont-ils évitables ? Nous aborderons cette problématique en deux grandes lignes. Premièrement nous analyserons les facteurs de ces catastrophes. Dans un deuxième temps nous chercherons les moyens d’anticiper ou non ces catastrophes.
Dans un premier temps analysons les facteurs des catastrophes naturelles. Dans l’article de F.Brussy on peut remarquer qu’il met en relation la nature et les technologies contemporaines. A ces yeux, les deux sont liées, et les hommes refusent de le voir. Il appelle les catastrophes naturelles, des « catastrophes modernes ». On peut voir qu’il tient les hommes pour responsable et qu’il les accuse d’être aveugle face aux réels causes de ces catastrophes, on peut très bien ressentir cela à travers cette phrase : « La prolifération des images nous rend myopes devant les facteurs déterminants des catastrophes modernes. »
Pour R-E Dagorn, c’est plus mitigé, les hommes sont coupables mais surtout de leurs manquent de prévoyance, et que le reste est du au changement climatique. Les facteurs à ces yeux restent climatiques, mais les dommages pourraient être amoindris si l’Homme aménagé correctement les espaces. De plus il met en évidence le fait que dans un pays sous développés les dégâts sont plus importants que dans un pays développés. En effet, pour lui, la richesse du pays et sa capacité à contrôler les facteurs sont liés. Sur la photo du village de Bento-Rodriguès, on peut voir que le village a subit un tsunami de déchets, et donc comprendre qu’une infrastructure créée par l’Homme est à l’origine de cette catastrophe.
Dans l’extrait du poème de Voltaire, c’est la volonté divine qui est mis en avant. A travers ses vers on peut lire plusieurs fois le nom de Dieu. Son questionnement sur la vengeance de dieu sur les hommes est un fait très fréquent à cette époque. On retrouve aussi quelques lignes à ce sujet dans l’article de F. Brussy qui nous dit qu’a une autre époque on aurait parlé de ces catastrophe en parlant de colère divine. On remarque grâce à ces documents que chacun à son avis sur les facteurs, et que ceux qui reviennent le plus sont la technologie, l’Homme et la nature.
Quand on parle de catastrophes naturelles on se demande souvent si il est possible de les anticipées. Si l’on en croit F. Brussy, les Hommes préfèrent laisser cette charge à la technologie. Même si cela a, pour lui, l’effet inverse, en effet on peut comprendre a travers son écris que plus la technologie gagnent en puissance, plus les hommes ont du mal à contrôler les catastrophes. Il pense que les hommes voient les catastrophes naturelles comme des « accidents » que l’on aurait pu éviter, mais que ce n’est pas pour autant que l’on avance. En effet il met en évidence le fait qu’on a beau être au courant de ce qui se passe, ce n’est pas pour autant que les sociétés prennent des décisions qui feraient avancer les choses. La phrase « La crise écologique est refoulée au sens psychanalytique, alors même qu’on ne parle que de cela » est assez représentative de son point de vue. Cela confirme qu’il pense que l’Homme se cache derrière des actions qu’il juge inutile car personne ne réalise se qu’il nous attend réellement.
Pour ce qui est de R-E Dagorn, il pense que beaucoup de catastrophes, du moins leurs dommages, pourraient être évités grâce à des infrastructures sécurisées. En effet il met en évidence le fait que les pays développés qui sont équipés d’infrastructure telle que des normes antisismiques concernant les constructions subissent moins de dégâts que les pays sous développés dans lesquels ses normes n’existent pas. Il dit aussi que certains investissements auraient pu permettre d’éviter certaines catastrophes.
En ce qui concerne la photo du village de Bento-Rodriguès, le fait que cela soit un barrage de déchets qui est rompu vient confirmer la théorie de R-E Dagorn. A plusieurs reprises dans son article, il explique que les populations devraient être plus prudente et ne pas construire sur des zones à risque. Cependant l’évacuation du village préventive, confirme aussi sa théorie, comme quoi il vaut mieux agir tôt, car cela a permis de mettre une population en sécurité alors qu’un deuxième barrage menacés de cédé.
Si on se base sur ce corpus, on peut
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