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Rousseau, le contrat social

Dissertation : Rousseau, le contrat social. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  25 Juillet 2020  •  Dissertation  •  683 Mots (3 Pages)  •  570 Vues

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Dans le contrat social Rousseau dit que chaque personne est née libre par nature et personne d'autre n'a le droit d'avoir la domination ou d'être un maître d'honneur ou de liberté.  En outre, il considère un homme comme un fou lorsqu’il prêt à échanger sa liberté ou à la donner à une autre personne. Il est tout à fait naturel que chaque personne libre et chacun a son propre intérêt personnel.  Il arrive que quelqu'un puisse partager cet intérêt, qui fait qu’ils ont des points de vue similaires, mais il y a ceux qui poursuivent d'autres objectifs et intérêts. Mais comment alors unir tous ces intérêts en tout pour créer un équilibre entre eux.  Pour ce faire, il y a un gouvernement que le peuple crée lui-même pour assurer l'intérêt commun du peuple. Le gouvernement est une sorte de société non traditionnelle qui devrait écouter les idées ou les pensées de chaque société, mais ne pas en tenir compte, car dans ce cas, il n'y a aucun sens dans l'existence du gouvernement. Souverain à son tour est chargé de l’exécution des lois et du maintien de la liberté tant civile que politique.  Ce n'est que sur la base des points où les intérêts ne convergent pas qu'il est possible de tirer une conclusion et de trouver une solution à ceux qui évitent les conflits eux-mêmes et ne se précipitent pas vers l'honneur ou les intérêts. Mais on peut comprendre que les deux parties (intérêt individuel et collectif) feront certains sacrifices égaux pour arriver à un point commun. Rousseau veut que, l’homme pense à la volonté générale, sacrifier leur propre choix sur le plan de critique, délibérative et intellectuelle comme la tendance positive, pas de domination, tolérer l’idée de contrainte, bienvenue l’obéissance et mettre des outils pour permettre la véritable liberté. La nature donne à chaque homme un pouvoir absolu sur tous ses membres, le pacte social donne un corps politique un pouvoir absolu sur tous les siens, c’est même pouvoir dirige par la volonté générale sous le nom de la Souveraineté. Les peuples veulent toujours le bien, mais ils ne le voient pas, ils besoins quelqu’un pour les guider. Il faut apprendre ce qu’ils veulent à leur raison pour le bien de tout. La volonté dans le corps social, la plus grande force de tout. Et pour tout cela, Rousseau a souligné la maturité des gens pour les changements futurs, c'est-à-dire qu’on ne peut pas changer brusquement ou opter pour des changements drastiques, si les deux côtés eux-mêmes ne mûrissent pas pour cela, c'est comme mettre un enfant de 10 ans à conduire une voiture sans tenir compte de l'âge et de l'attitude psychologique. Ainsi, il y a des inégalités, car il y a des riches et des pauvres et ils sont tous deux étroitement liés et l'un ne peut exister sans l'autre, on peut même dire qu'ils ont des effets sur la stabilité de l'État. Alors l’État crée des conditions pour les personnes ayant des capacités financières différentes.  Ils rassemblent les intérêts communs des gens et créent un équilibre pour eux dans la société.

On peut prendre un autre exemple.  Chaque jour, les gens vont travailler et leur objectif c’est travailler. C’est un intérêt commun. Pour cela, il existe de nombreuses décisions sur la façon de se rendre au travail en utilisant les transports en commun, comme un bus ou un métro, mais il existe également d'autres possibilités d'avoir sa propre voiture, cela dépend déjà du confort de chaque personne, car chacun a son intérêt personnel.

 

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Il existe 4 lois politiques,1) le corps agissant sur lui-même, 2) celle des membres avec eux ou avec corps entier, 3) rapport qui naissent les lois civiles et le 4) le plus important de toutes, qui est dans le cœur des citoyens, qui fait la véritable institution de l’État. Avec tous ces forces, lorsque les autres lois vieillissent, il garde son institution et substitue la force de l’habitude à celle de l’autorité. Rousseau parle des mœurs, des coutumes et surtout de l’opinion, laquelle dépend le succès de toutes les autres

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