Management Stratégique

Management Stratégique

Le terme « Base of the pyramide » (le bas de la pyramide en français) est largement diffusé dans les recherches des économistes CK Prahalad et Stuart L. Hart, qui ont réfléchi sur l'adaptabilité à la fin des années 1990. C'est une caractéristique du modèle capitaliste d'une population de 4 milliards de personnes dont les dépenses quotidiennes moyennes sont inférieures à 2 $ US.

Il y a près de 20 ans, Prahalad, et son collègue Stuart L. Hart ont lancé une idée simple mais radicale. Ils ont fait valoir que les 4 milliards de pauvres dans le monde représentaient un marché de consommation dynamique, que ce marché pouvait être exploité au mieux avec des modèles à but lucratif et que les pauvres eux-mêmes devaient être partenaires dans le processus. Cela a remis en question de nombreuses hypothèses de longue date sur le rôle du gouvernement et des entreprises dans la lutte contre la pauvreté. À l'époque, leur pensée qui avait été rejetée pendant quatre ans par les revues spécialisées, elle invitait au mieux au scepticisme poli. Une grande partie de l'hésitation à s'engager dans leurs idées provenait de la conviction que l'amélioration de la situation des pauvres était le domaine du gouvernement et des organisations à but non lucratif, ou était simplement trop risquée. La plupart des entreprises n'avaient pas la perspicacité et les structures de coûts nécessaires pour atteindre les consommateurs pauvres. La croyance persistante était que les besoins tels que le logement et la nutrition devaient être satisfaits avant que les pauvres puissent comprendre et payer les produits et la technologie auxquels ils aspirent.

Néanmoins, l'idée de fusionner le profit et la finalité à ce que Hart appelait the base of the pyramide, et que beaucoup appellent aujourd'hui la base de la pyramide, a capté l'imagination des entreprises et de la communauté du développement. Ce qui a commencé une stratégie qui dresse le profil des entreprises et des organisations du secteur social qui ont créé des initiatives commerciales fructueuses dans les économies en développement. Et contrairement à de nombreuses idées de gestion qui sont venues et reparties. Je pense que la raison en est qu'il répond aux aspirations des dirigeants et des consommateurs. Il représente un point de vue fondamentalement optimiste sur la capacité des pauvres et des personnes au sein des organisations à collaborer et à rendre le monde meilleur.

On peut dire également le manque de preuves claires que le concept de Base of the Pyramide a tenu ses promesses dans les 16 ans derniers, soit pour les entreprises, qu'elles peuvent servir les marchés de BTP de manière rentable, soit pour les participants à la BDP, que l'implication des multinationales contribuera à réduire la pauvreté.

Je trouve que la composition de la stratégie (BOP) est l'avenir du management stratégique basé sur l'actualité économique internationale.

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