Le goût moderne pour la vitesse

Dans cette écriture personnelle, nous allons parler du thème de la vitesse. Ici nous nous posons la question, la vitesse est-elle un critère indispensable pour définis les sociétés modernes ? Dans un premier temps nous allons voir que la vitesse est indispensable pour définir les sociétés modernes puis nous allons voir que la vitesse n’est pas indispensable pour définir les sociétés modernes.

Premièrement dans notre société nous voulons aller toujours plus vite comme par exemple la démocratisation de la uberisation dans les pays développés. Le fait de ne pas vouloir se déplacer par pur perte de temps car on peut faire des choses chez soi ou au travail tout en attendant une livraison de nourriture ou le fait de ne plus se déplacer pour aller vers les aires de taxis dédiées et plutôt attendre en bas de chez soi qu’un Uber arrive pour nous emmener à notre destination.

Cette vitesse est plaisante pour tous ceux qui pratique cette vitesse ont une sensation de faire plus de chose, et cette vitesse comme dans le texte de Françoise Sagan, Avec mon meilleur souvenir, elle dit que la vitesse en voiture procure une sensation enivrante, une sensation de bonheur.  Cette vitesse peut être aussi lié aux progrès techniques qui se font de plus en plus vite et qui permet de d’aller encore plus vite.

Mais cette vitesse peut être aussi très néfaste, car elle peut nous détruire, nous tuer. Cette perpétuelle vitesse dans notre société nous pousse à toujours aller plus vite dans notre travail, dans notre vie de tous les jours. Dans la musique de Noir désir, L’homme pressé, le tempo de la musique va de plus en plus vite comme ce que nos vies vont devenir, mais à la fin cela se termine mal.

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