Ce n’est pas le doute, c’est la certitude qui rend fou », Friedrich Nietzsche.

Français: Dissertation n°1

Sujet: « Ce n’est pas le doute, c’est la certitude qui rend fou », Friedrich Nietzsche.

        Dans notre monde, le doute n’est pas permis, nous le considérons comme quelque chose de « mal » car il mène souvent à un comportement que nous ne comprenons pas.

Comme je l’ai signalé dans ma précédente correction, je trouve cette phrase trop vague. Je mettrais plutôt quelque chose du style «Le doute n’est pas bien perçu de nos jours, notre époque moderne étant caractérisée par une grande soif de repères, etc». Et encore, je trouve que cette amorce est trop vague, sans grande consistance. J’évoquerais plutôt une problématique liée à l’actualité, au danger que courent les démocraties modernes, qui restent fragiles si on ne continue pas à réinterroger leur nécessité. Ou encore le désintérêt de plus en plus évident pour les jeunes de voter à Abidjan

http://www.lavenir.net/cnt/DMF20151012_00718686 

http://news.abidjan.net/h/566820.html

Mais ce doute, est-il vraiment dangereux? Friedrich Nietzsche dit le contraire: «  Ce n’est pas le doute, c’est la certitude qui rend fou ». Pour lui, c’est le fait d’être sûr de soi à propos de quelque chose ou d’une pensée, qui peut amener à la folie.

La certitude est-elle vraiment source de folie? Est-il bien de douter? Un excès de doute n’est-il pas une mauvaise chose? Ce questionnement est trop abstrait, on sent bien que tuy n’es pas à l’aise avec le suje 

        Nous tenterons, dans un premier temps d’interroger ces points et nous tacherons, par la suite, de mieux saisir ce qui nous semble se présenter derrière cette citation du philosophe et poète allemand Friedrich Nietzsche.

        Nous commencerons en nous disant que le doute rend fou, ensuite nous verrons si le doute ne pourrait pas rendre fou aussi, enfin, nous verrons si ces deux choses sont liées ou non.        ➔ Trop vague 

        Commençons directement l’analyse de cette fameuse citation et tentons de lui donner un sens.

        Tout d’abord, la certitude enferme la personne dans une prison alors que le doute permet la réflexion de ce qui nous dépasse et que l'on (éviter les « on » dans une dissertation) ne peut pas comprendre. Cette prison peut créer une solitude chez cette personne qui, sûre d’elle, ne serait pas capable de comprendre et donc d’accepter ce que les autres personnes pensent, ce qui pourrait nuire à leur entente.

        Certaines personnes qui étaient sûre d’elles ont causé les plus grand malheurs de notre planète. Prenons, par exemple Adolf Hitler, qui était sûr que ce qu’il faisait était bien. Il a causé une guerre mondiale qui a couté la vie à de millions de personnes qui ne faisaient qu’obéir à ce qu’on leur disait de faire (éviter les « on » dans une dissertation).

        Pourquoi ne pourrait-on pas douter de tout? (éviter les « on » dans une dissertation) En effet, comme nous l'a montré Socrate, le doute est cette attitude critique vis-à-vis de tout ce qui passe pour certain, ou de ce qui se donne comme un savoir. Le doute a plus de bienfaits que l’assurance. Le doute nous permet de développer notre esprit critique et donc de nous aider dans certains choix, de nous guider et dans certaines décisions. Il nous permet aussi de nous forger notre propre opinion d’un fait et donc de juger s’il est bon ou mauvais selon notre morale.

        La certitude peut amener au fanatisme. Une personne sûre d’elle peut pousser son raisonnement jusqu’à sombrer dans l’ obsession. Prenons un exemple, une personne qui a vu un OVNI ou une autre chose légendaire, va tout faire pour nous prouver qu’elle ne ment pas et qu’elle a vraiment vu cet OVNI. Mais c’est très dur de croire que quelqu’un ait pu voir cette chose que nous pensons pas réelle. Nous allons donc « classer » cette personne en disant soit qu’elle ment, soit qu’elle est complètement folle. Tu pourrais trouver un exemple plus intéressant: l’exemple du politicien Vitaly Milonov, qui est à ce point homophobe qu’il compare l’homosexualité à de la perversité au même titre que la pédophilie

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