Le manuel pratique de la méthode Montessori
Fiche de lecture : Le manuel pratique de la méthode Montessori. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar csubrin • 5 Mai 2018 • Fiche de lecture • 1 543 Mots (7 Pages) • 639 Vues
Fiche de lecture :
Le manuel pratique de la méthode Montessori
Le livre que j’ai choisie est un livre qui explique la méthode Montessori dans les moindres détails et qui donne des exemples concret sur cette pratique. Ce manuel à été écrit par Maria Montessori en 1939.
Dans ce manuel, Maria Montessori présente concrètement le matériel et l’environnement de sa méthode, mais aussi la philosophie de sa pédagogie en rappelant son objectif final : servir la paix.
Dans une première partie, j’expliquerais les points et remarques importantes de la méthode Montessori.
Dans une deuxième partie, je donnerais des exemples et des remarques lié au exercices du quotidiens que Maria Montessori propose, ces exercices concerne essentiellement la vie pratique. Nous verront aussi des exercices d’apprentissage de la lecture et des mathématiques.
Ainsi nous verrons comment peut-on mettre en pratique la méthode Montessori ?
La méthode Montessori à plusieurs objectifs, les objectifs principaux de cette pédagogie sont de permettre à l’enfant de prendre confiance en lui, de devenir autonome, d’agir et de penser par lui-même, de communiquer avec les autres, de respecter les autres et son environnement et de se préparer à une vie sociale harmonieuse.
Dans la pédagogie Montessori, l’enfant à une certaine liberté et doit découvrir et apprendre les choses de la vie, les tâches du quotidiens par lui même sans que tout ne lui soit dicté. L’adulte doit aider l’enfant à agir et s’exprimer, mais sans jamais agir à sa place à moins que cela soit vraiment nécessaire. Chaque fois qu’un adulte aide un enfant alors que c’est inutile, il entrave à son développement. Cette pédagogie vise à facilité un développement libre et harmonieux, conformément à la propre vie de l’enfant. L’enfant sera plus libre de manière à se qu’il agisse de manière naturelle, sans aucunes contraintes obligatoire, ni programme quelconque et sans suivre les préceptes pédagogiques fondés sur les principe « hérités » des anciennes conceptions scolaire. Bien sûr pour pouvoir laisser l’enfant agir de manière autonome et être très libre il est nécessaire de préparer en amont un environnement adapté à son développement.
Dans ce manuel Maria Montessori, nous donne des exemples d’exercices sur la vie pratique comme par exemple laver une table, changer l’eau des fleurs, ouvrir et fermer les portes et fenêtres, plier, couper, couper avec un couteau…
Cette pédagogie mène aussi les enfants vers des activité de cuisine, de jardinages, de soin à la personne…
Prenons l’exemple de l’hygiène personnelle, avec le lavage des mains : ce travail plait généralement beaucoup à l’enfant, c’est pour sa qu’il faut lui laisser le faire autant de fois qu’il le souhaite. Cette leçon parait peut être simple et bête, mais c’est l’une des plus importantes, elle doit être répété par les enfants le plus souvent possible. C’est pour sa qu’il faut lui laisser installé le matériel adapté ( petite cuvette ou bassine disposé à hauteur convenable, une petite soucoupe pour le savon et un seau pour l’eau usé )à sa porté. L’enfant choisira donc cette activité spontanément.
Prenons pour deuxième exemple l’entretien de la classe : pour la leçon « Balayer » un balais et une pelle recouverte de sa moitié (pour facilité le travail de l’enfant) est mis à disposition dans la classe. On constate que les enfants vont par eux même à la recherche de la poussière et prennent même du plaisir à balayer.
Les activités de la vie pratique répondent pour Maria, parfaitement à l’intense désir d’agir de l’enfant. Ces travaux qui peuvent paraître « banale » donne à l’enfant l’occasion d’exercer sa force, ce qui est pour lui une nécessité psychologique.
Il y a aussi les exercices de mathématique et de lecture, comme par exemple, les exercices pour mémoriser des nombres : l’enseignant dispose quelques bouts de papier dans une boites avec des chiffres de 0 à 9 écrit dessus, après cela l’enseignant lance le tirage au sort. L’enfant pioche un petit papier, retourne a sa place, le lit en cachette, le replie et le garde en secret. Ensuite un par un, et même par groupe, les enfants qui détiennent un petit papier s’approchent de la grande table de la maîtresse, sur laquelle il y a une foule d’objets, des cubes, des briques de Fröbel…et chacun prend la quantité d’objets qui correspond au numéro pioché. Le petit bout de papier doit être laisser par les enfant a leur place, afin qu’il retienne le numéro qui y était inscrit.
Des exercices de lecture sont également enseignés, comme par exemple, le jeu pour la lecture de mots, des objects attrayants, la plupart du temps des petits jouets sont posé sur une table, et dans un panier ou une petite boite des bandes de papier enroulées, qui contiennent des mots. Comme dans une loterie, l’enfant qui sait lire le papier qu’il a tiré au sort le présente comme un billet qui lui donne le droit de choisir le jouet correspondant. Par la suite ce jeu s’est transformé en exercice individuelle qui consiste a prendre des jouets qui correspond auprès avoir été lu au petit papier. Le mot écrit et l’objet doivent être associé ensemble par l’enfant. Dans les école Montessori de langue Italienne et de langue Espagnole, qui sont phonétiques par exellence, les enfants ont vite délaisser les jouets pour avoir plus de petit bouts de papier et pour le simple plaisir de les lire. Ce fait surprenant démontre que l’enfant préfére lire que de toucher au jouets. Le chemin le plus sûr es celui qui mène aux connaissances, sans se préoccuper de chercher des artifices inutiles.
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