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Louis-Jean Calvet, extrait du Monde de l’éducation

Commentaire de texte : Louis-Jean Calvet, extrait du Monde de l’éducation. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  28 Septembre 2018  •  Commentaire de texte  •  898 Mots (4 Pages)  •  775 Vues

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1) Ce texte est de type explicatif du fait que l’auteur, Louis-Jean CALVET, nous montre l’évolution des techniques d’écriture. Il est extrait du «Monde de l’éducation, de la culture et de la formation », qui est un article de presse. L’auteur a donc le souci d’examiner le monde contemporain et de nous en expliquer les transformations. De plus, de par ses fonctions de linguiste, écrivain et professeur des universités, Louis-Jean CALVET est un spécialiste de la question de l’écriture. C’est également un homme capable de transmettre un savoir.

2) Dans ce texte, l’auteur utilise le pronom indéfini «on ». Ce dernier a une valeur de substitution dans : « on le voit », «on oublie souvent », «on peut penser » et «quoi qu’on en dise ». L’écrivain se sert de ce pronom pour nous interpeller. « On » a aussi une valeur d’indéfini dans : « on copie », « on reproduit », « on oblitère », « on peut désormais » et « on grave ».

L’auteur fait des phrases très ponctuées. Il se sert des virgules pour faire des énumérations, des tirets et des parenthèses pour donner des précisions. Il utilise également les deux points «:» pour annoncer les extraits les plus importants du texte.

Les modalisateurs sont peu présents dans ce texte. Ceux qui, pour lui, font partie d’une idée vraie sont «on le voit », « prouvent », « d’évidence » et « quoi qu’on en dise »

« Semblaient » est le seul modalisateur qui symbolise une idée douteuse, car la pensée de Mac LUHAN est que l’écriture appartient au passé, ce que réfute Louis-Jean CALVET.

Le rapport entre l’écrivain et le lecteur est le même que celui qui existe entre le professeur et l’élève. Il veut transmettre un savoir. Pour cela, il donne beaucoup de précisions, fait une citation et dévoile quelque peu son point de vue.

3) Le texte est constitué de onze paragraphes de taille à peu près équivalente. Ils relatent l’évolution de l’écriture (et de ses métiers) et les changements que cela a apportés dans la société à chaque période importante.

Le résumé devra tenir compte de l’assemblage entre l’évolution de l’écriture et la réaction de la société pour chaque époque. Sa physionomie sera de six paragraphes, comme le texte original, pour bien séparer chaque période de l’évolution.

4) Le ton de ce texte est didactique car l’auteur veut informer et instruire. Toutes les précisions, les énumérations et tous les exemples de l’écrivain vont dans ce sens. Le vocabulaire est simple et compréhensible par tout le monde.

Avec ces quelques mots : « araméen », « palimpseste », « linotypiste » ou encore « Sumer », Louis-Jean CALVET nous demande quand même une petite recherche personnelle.

A la fin du texte, l’auteur a un ton polémique avec ces mots : « écrite, quoi qu’on en dise ». Il montre qu’il n’est pas d’accord avec tous ceux qui pensent que les cybercommunications ne sont pas des correspondances écrites.

5) Nous sommes en présence d’un texte neutre. Louis-Jean CALVET veut simplement informer sur l’évolution de l’écriture et les bouleversements que cela a conduits sur la société. Par exemple, il dit que « l’écriture est, dès son origine, l’apanage du pouvoir » simplement pour préciser ce qui se passait à l’époque. Par contre, il montre sa

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