LENGUA Y CULTURA DE FRANCÉS
Analyse sectorielle : LENGUA Y CULTURA DE FRANCÉS. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar xiomara10c • 3 Décembre 2015 • Analyse sectorielle • 1 078 Mots (5 Pages) • 764 Vues
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LENGUA Y CULTURA DE FRANCÉS
TAREA ACADÉMICA 1
Professeurs :
Marie Seret
Jérôme Mangelinckx
Nom et Prénom :
Xiomara Caldas
Code universitaire :
U201113169
2015-1
L’évolution de la mémoire après la seconde guerre mondial
La Seconde Guerre mondiale a été une période de changement par la France où ses habitants ont combattu pour trouver de liberté et de démocratie. C’est pour cette raison qu’après la guerre la construction de la mémoire française a changé complément. Avec les conflits politiques et sociaux de la guerre, les françaises se font leur propre vision du passé. Mais on se pose une intéressante question Est-il vrai qu'il n'y avait qu'un seul type de mémoire dans la société française après la Seconde Guerre mondiale ? Dans cet essai on va développer l’idée de que la mémoire français après la guerre n’a été pas toujours la même ; elle a passé pour un procès d’évolution avec le temps et l’histoire. Pour cette raison, on va présenter les deux types de principaux mémoires construit dans la France : le «mythe résistentialiste» et le réveil de la mémoire de la Shoah. Ensuite, on va développer chaque type de mémoire avec des exemples dans chaque paragraphe, respectivement. Finalement, on va donner une conclusion en affirmant l’hypothèse donné.
Pendant 1945 et 1971, on construit une mémoire résistencialiste dans la société française. Selon l’historien Henry Rousso dans son ouvrage Le syndrome de Vichy il y avait un « mythe résistantialiste » ou se dit que le français, pendant la guerre ont résisté toujours aux allemandes et que Vichy n’a jamais existé.[1] Cette pensée a été forgée principalement par le général de Gaulle, qui veut une réconciliation nationale dans la France, et pour cette raison il veut occulter le rôle de Vichy a. Il tient, dans son discours, à la libération de Paris :
« Paris ! Paris outragé ! Paris brisé ! Paris martyrisé ! mais Paris libéré ! libéré par lui-même, libéré par son peuple avec le concours des armées de la France, avec l'appui et le concours de la France tout entière, de la France qui se bat, de la seule France, de la vraie France, de la France éternelle. » [2]
Cette idéologie a été le facteur principal de la division de la société française était : il y avait une partie de collaborateurs qui étaient avec les allemandes et d’autres, les résistants, qui veut une France libre, comme la présentait Gaulle. Le mythe résistentialiste se renforce quand ce personnage arrivé au pouvoir en 1958, parce qu’il veut montrer une France plus unifié et résistante contre les étrangers. Par exemple, pendant la guerre d’Algérie, il y avait beaucoup des déportations et de punitions, parce que les anciens résistants veulent transmettre aux jeunes l’importance d’avoir des valeurs de la Résistance et ainsi, petit à petit, s’a créé un idéologie résistante dans la société française. Aussi, il y avait beaucoup des évènements et commémoration de la résistance. Par exemple, la création du mémorial de la France combattant inauguré au Mont Valérien ou le transfert des cendres de Jean Moulin (une des résistantes plus importantes dans la Seconde Guerre mondiale). C’est-à-dire que ce mythe résistentialiste a été créé par la propre population mais avec l’action politique essayant de maximiser l'idée d’une France résistance et de faire oublier à la population sur le régime de Vichy et la conspiration avec le régime nazi-allemand.
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