15 février1839
Commentaire d'oeuvre : 15 février1839. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Sandra Pelletier • 3 Octobre 2015 • Commentaire d'oeuvre • 679 Mots (3 Pages) • 1 318 Vues
Sandra Pelletier
TRAVAIL PRATIQUE 1 – CINÉMA ET POLITIQUE
Le film Le 15 février 1839, est un film qui relate les évènements de la Rébellion des Patriotes. Cette rébellion qui a eu lieu entre 1837 et 1838 au Bas-Canada, qui est le Québec d'aujourd'hui, est un conflit militaire qui opposa les Patriotes à l'armée britannique1. Le parti des Patriotes était dirigé par Louis-Joseph Papineau, et c'est celui-ci qui a fait en sorte que les Patriotes se batte pour changer le système gouvernemental du Bas-Canada. Après une bataille perdue par les patriotes, plusieurs de ceux-ci s'exilent aux États-Unis et les autres sont emprisonnés à Montréal. Au cours de cet évènement plusieurs Patriotes ont perdu leurs vies au combat, d'autre ont été condamné à mort part la pendaison lors de leurs emprisonnements. Le film porte la date de la journée ou cinq Patriotes on perdu la vie suite une condamnation à mort. Dans les cinq combattants on peut compter Chevalier DeLorimier grand chef du Parti Patriotes 2.
Le film complet se déroule dans la prison de Montréal, le Pied-du-Courant. Majoritairement tourné dans une seule section de la prison où se trouve environ une trentaine de prisonniers, dont deux qui sont condamnés à mort. Ce film relate les dernières 24 heures des deux Patriotes qui devront mourir par pendaison. Dans les deux condamnés, on retrouve un personnage marquant dans l'histoire du Québec Thomas Chevalier DeLorimier. Durant c'est 24 heures plusieurs scènes de tristesse auront lieu notamment lors des adieux fait part DeLorimier à sa femme où on peut voir celle-ci s'accrocher à son mari et crier pour ne pas le laisser partir. Gruger par la tristesse la femme du Chef du Parti Patriotes perdit connaissance. Un moment marquant aussi de ce film est le dernier souper organisé par le deuxième condamné à mort. Celui-ci prit tous sont argent pour payé à lui et tous les autres prisonniers de sa section de la prison un énorme repas. À la fin du film, on peut voir les deux combattants ainsi que trois autres prisonniers marcher vers l'échafaud où ils perdront leurs vies en criant « Vive la liberté ».
Le réalisateur de film présente beaucoup le point de vue des Patriotes, dans le film ce groupe sont des victimes, mais ils veulent paraître comme étant des vainqueurs et qu'ils n'ont pas peur. Lors des adieux entre DeLorimier sa femme, celle-ci est arrachée à l'idée de devoir lui dire adieu. Elle s'accroche à celui-ci et ne comprend pas pourquoi il ne s'incline pas et ne demande pas pardon pour elle, pour leurs enfants et pour lui. Celui-ci essaye de lui expliquer avec beaucoup de difficulté qu'il doit faire cela pour le peuple pour ne pas se laisser abattre et pour la liberté. Cette scène du film explique bien l'idée du réalisateur puisque même devant les yeux de sa femme terrorisée DeLorimier garde la même idée, celle de devoir mourir pour ne pas donner raison aux Anglais. Dans la même idée de sang-froid, lors de la scène de la pendaison des cinq détenus, juste avant que les trappes s'ouvrent sous les pieds des Patriotes deux d'entre eux s'exclament « Vivre la liberté». C'est trois mots maintenant devenus emblématique font preuve de courage et de persévérance. Dans ce film le réalisateur a voulu faire en sorte que les Patriotes deviennent des héros, des personnages importants dans l'histoire du Québec.
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