Comment Olympe de Gouges utilise-t-elle le modèle de la nature pour combattre l'inégalité des sexes ?
Commentaire de texte : Comment Olympe de Gouges utilise-t-elle le modèle de la nature pour combattre l'inégalité des sexes ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Maxime Delorme • 17 Mars 2023 • Commentaire de texte • 352 Mots (2 Pages) • 510 Vues
Olympe de Gouges de son vrai nom Marie
Gouze est née en 1748 à Montauban, est morte
guillotinée en 1793 à Paris. c'est une femme de
lettre qui a pris part de façon active aux débats
sociaux et politiques de son époque. Elle rédigea
la DDFC où elle affirme l'égalité des droits civils
et politiques des 2 sexes.
Comment Olympe de Gouges utilise-t-elle le
modèle de la nature pour combattre l'inégalité
des sexes ?
1er mouvement : une vive interpellation
2e mouvement : la loi de la nature
3e mouvement : la loi dégénérée des hommes.
1-verbes à l'impératif pour contrer cette attitude
supérieure de l'homme, elle se montre elle
même autoritaire et le met au défi de trouver
parmis les êtres vivants le même type que celui
qui fait preuve l'expression " si tu oses montrer
qu'il est impossible de trouver un exemple
d'inégalité dans la nature et que si l'homme ose
le faire c'est qu'il fait preuve de malhonnêteté"
Elle évoque aussi l'hypocrisie des hommes ou
du moins leur manque de cohérence avec le
verbe "semble" qui sous-entend qu'il existe un
écart entre ce que disent les hommes et ce qu'ils
font réellement.
2- verbes à l'impératif, ODG se montre
autoritaire voir condescendante. Elle énonce à
l'homme les consignes qu'il doit suivre pour bien
comprendre l'état des choses grâce à une
énumération elle remet ainsi en cause les
compétences intellectuelles de l'homme qui ne
serait pas capable d'étudier correctement le
monde qui l'entoure. Elle prône ici une démarche
scientifique, méthodique et rigoureuse avec les 3
verbes
" cherche, fouille et distingue", elle défend
ainsi les idées des Lumières.
3-l'adjectif seul renvoie à la thèse développée
précédemment qui affirme que l'homme agit
différemment de tous les êtres vivants, qu'il a
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