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Libre-arbitre et déterminisme

Cours : Libre-arbitre et déterminisme. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  8 Mai 2023  •  Cours  •  2 267 Mots (10 Pages)  •  280 Vues

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Le libre arbitre est la facullté de décider de façon totalement libre et independante sans contrainte

Déterminisme consiste a penser de chaque action, chaque décision, chaque évènement est entièrement déterminer par les circonstances

Selon Nietzsche la liberté est un concept inventé a des fins morales pour juger les gens responsables de leurs actes ; on distingue un triple déterminisme, déterminisme biologique defendu par nietsz consistant a dire que l’homme est determiné par son corps car il est soumis principalement a ses passions, ses pulsions,et ses instincs, selon n le libre arbitre n 'est qu’une illusion  du a l’ignorance des causes qui nous déterminent, le déterminisme socio economique est defenduu par marxs, qui pense que la conscience est subjective et depends des conditions sociologique économiques et culturels dans lequel est l’individus, l’homme subis donc un d »terminisme de son environnement, le troisième déterminisme, est le déterminisme psychique ou psychologique defendu par Freud et son idée de l’inconscient, l’inconscient echappe au contrôle de la csc et a la volonté est a l’origine de nos choix de nos decsion ; Freud nie donc le libre arbitre ; tout choix est determiné par des raisons incstes ;

Pour Freud lincosn est la part la plus importante du psychisme humain d’une part nous determine et est soumise a des pulsions ; il s’oppose a Descartes la personne égale la csc

1)

Lorsque lon evoque l’inconscient on pense tout d’abord a Freud avec son invention de la psychanalyse. Freud a une importance considerable dans l’analyse des phénomènes incst mais pour autant de nbr auteurs ont postulé avant Freud qu’il existait des pensées non cst ; en effet pour leibniz, nous sommes en permanences sujet a des petites perceptions. (nv essaies sur lentendement humains 1704) nous avons ds notre vie quotidienne tt un tas de petites perceptions qui viennent frapper notre esprits sans qu’elles soient pour autant conscientes, par ex si on habite pres d’une route a un moment nous cesserons dentendre le bruit constznt des voitures qui passent, cela ne veut pas pour autant dire que le bruit cesse dexister, il est tjrs la et ft désormais parti de notre habitud ; de plus leibniz montre aussi que lorsque lon entends le bruit d’une vague nous devons necesseraiemet entendre le bruit de chacune des goutes qui la compose pourtant nous n’entendons pas distinctement le bruit de chacune de ces goutes, seulement leur sommes, seul le bruit de la vague est percu de manière consciente par notre esprit tandis que le bruit de chacune des gouttelettes est fondu dans un bruit que nous ne pouvons percevoivre distinctement ces perceptions existent mais elles ne sont pas cst ; contrairement a Descartes, leibniz affirme qu’il existe une forme de pensée non consciente mais cette pensée est encore vu comme une sorte de défauts de la conscience plutôt que comme une véritable puissance propre, nietshe va aller plus loin et montrer que le fait qu’on est a l’origine de nos pensées est peut être une illusion (par dela le bien et le mal 1886)pour lui Descartes va trop loin en nous accordant l’origine de la pensée, certes nous pouvons observer que qqch se produit dans notre esprit et nous pouvons nommer ce qqch la csc, mais observer une pensée csc ne signifie pas nécessairement en être l’auteur, on se demande quelle va être notre prochaine pensée, je vais penser a quelle couleur, par ex le bleu , mais est ce qu’on a vrm décider de penser a cette couleur, on ft que constater ce que lon pense (experience de libet) notre cerveau a décider qu’il allait appuyer sur le bouton avanr que nous nous en soyons conscient, cest comme sila csc était pas tant a l’origine de nos decisions mais simplement un observateur  de nos pensée, la pensée non consciente semble donc avoir une part extrêmement importznte dans nos decisions et dans notre vie

DEUXIEME PARAGRAPHE FREUD ; celui qui insicte sur ce point ds un contexte clinique est Freud, il marque un moment importanr dans letude de la psychologie et ds la compréhension de notre esprit cest a se titre qu’in letudie. La pensée cst nest que la partie visible de l’iceberg et pour comprendre une personne et ses troubles il faut s’interesser a l’incsct, pour lui c une instance autonome qui possède sa propre vie et ses propre règles, on peut distinguer 3 partie ds notre personnalité, le ca le moi et le surmoi, le ca est la partie la plus obscure de notre personnalité et c la que se trouve nos pensées inavouables par ex le complexe de dip, le fait que l’enfant ait envie d’être avec le parent du sexe opposé, ensuite nous avons le surmoi, c’est la partie qui nous interdit de faire des chcoses, par ex des interdits parentaux, le ca veut faire pleins de chose et  le surmoi lui interdit, ainsi afin de concilier ces deux instances il y a le moi qui va permettre daccorder de manière csc les désirs du ca, les interdits du moi et la réalité du monde qui nous entoure, c’est un peu l’arbitre entre le ca et le surmoi ;

Toute fois certains penseurs nient l’existence de ce que l’on nomme le déterminisme

Partie 2 ; « l’homme est condamné a être libre » Selon sartres l’h est seul face a son existence, seul face a la construction du sens de son existence ; L’existentialisme de sartes ne repose sur aucune entité divine ce qui définis sa manière de voir les choses ; en prenant lexemple du coupe papier, sartes donne une illustration de ce qu’est un objet crée ; il a été cree par la main de l »h dans le but de rep a une fonction, celle de couper ; ce qui définis donc l’essence du coupe papier ; alors que l’homme n’ayant pas de créateur, donc pas de fonction, pas de sens, son existence n’a pas de sens ; ainsi pour sartres l’essence de l’homme se construit, il n’en a pas pcq il en cree lui-même ; l’h decide de ce qu’il veut être ; nous donnons nous même un sens a notre existence ; cela est rendu possible par le concept de liberté car pour sartes elle existe chez l’h et il se définis par celle-ci, il se définis par la capacité qu’il a a chaque instant de sa vie de choisir ce qu’il va faire, les environnements QUI nous entourent peuvent en effet nous influencer et peuvent être considérer comme du déterminisme ; seulement pour sartres, il ne s’agit seulement que de la mauvaise fois ; l’h se dissimule a lui-même sa propre lâcheté, puisque on attend de l’homme a ce qu’il dise non, a choisir a la difference de l’animal ; et si l’home est libre cest qu’il possède la csc ainsi il nie totalement la notion de déterminisme, « la liberté est un fardeau dont on ne peut pas se deposeder »la seule essence de l’h pour sartres cest le fait qu’il puisse choisir donc sa liberté ; et dire le contraire releve de la mauvaise foi, c’est se mentir a soi même et supporter le poids de la culpabilité qu’il nous habite ; en réalité  nous savons que nous sommes libres, que nous avons la possibilité de choisir pour nous même ce que nous voulons mais on aime bien se dire qu’on peut pas faire ce qu’on veut car on se limite a nos habitutes , ainsi nous nous cherchons des excuses ;

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