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L'origine de la violence

Fiche : L'origine de la violence. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  13 Décembre 2023  •  Fiche  •  1 968 Mots (8 Pages)  •  168 Vues

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Chapitre 2 : L’origine de la violence

  • On remarque une violence qui persiste alors que les motifs de violence eux disparaissent. Certains penseurs comme Freud explique dans malaise dans la civilisation, que les communistes même après avoir réglé le problème des bourgeois n’ont pas pour autant réglé le problème de la paix et de la guerre. Ce qui montre que celui qui veut faire violence trouvera toujours un motif pour faire violence.

  1. Violence et nature

° Les hommes ne sont pas violents par nature, celle-ci proviendrais d’une tendance animale et que la société réussirait à atténuer et contrôler.

  • J. Conrad dans son ouvrage cœur des ténèbres (inspi du film apocalypse now) émet l’idée que la population ne serait qu’un vernis qui recouvre la violence.

[pic 1]

C'est une lente et funèbre progression qui mène le capitaine Marlowe et son vieux rafiot rouillé, par les bras d'un tortueux fleuve-serpent, jusqu'au "cœur des ténèbres."
Kurt l'y attend, comme une jeune fille endormie dans son château de broussailles. Ou comme Klamm, autre K., autre maître du château tout aussi ensorcelé de Kafka.
Éminemment moderne, le récit de Conrad, écrit en 1902, suscitera toutes les interprétations : violent réquisitoire contre le colonialisme, féconde représentation d'une libido tourmentée, rêverie métaphysique sur l'homme et la nature, chacun de puiser selon son désir dans ce texte d'une richesse et d'une portée sans limites. Car au bout du voyage, les ténèbres l'emportent.
L'illusion domine un monde où pulsions de mort, masques et travestissements ont stérilisé l'amour. Mais pas le rêve qui, par la magie de cette écriture inflexible, se lève et déploie ses splendeurs comme une brume aux échos incertains. Scarbo
Le récit, au fil de la remontée d'un fleuve en forme de serpent, nous entraîne dans une expédition au cœur du continent africain, peuplé de combattants invisibles et de trafiquants d'ivoire rongés par la fièvre. C'est l'un d'eux, M. Kurtz, que Marlow, le narrateur, est chargé par sa compagnie de ramener en Europe. Mais le responsable du comptoir perdu s'est " ensauvagé ", et les indigènes tentent de s'opposer à son départ...

 

  1. Nature et société.

  • Selon Aristote la nature ne pousse pas les hommes à la violence mais au contraire à vivre en société et lier des liens. L’homme est poussé par la nature à crée des liens à cause :
  • Avoir besoin des uns et des autres pour vivre, nous sommes tous complémentaire entre nous (parents, enfants...)
  • Les hommes vivent ensemble pour être heureux, mais cette fonction ne peut se faire que dans la cité. Pour lui les hommes sont naturellement sociables.

Mais pour Aristote ce sont les individus réfractaires à crée des liens qui créaient la violence, le passionné de guerre est une erreur de la nature. Et il dit aussi que face à la violence l’homme est beaucoup moins armé que l’animal mais qu’il possède le langage ce qui lui permet de dialoguer.

  • Selon Hobbes « l’homme est un loup pour l’homme », le citoyen. Pour lui l’homme aurait une nature bestiale et serait un symbole de violence. Hobbes établit une philosophie contre Aristote. Il explique que dans la société en règle l’homme est dieu pour les autres car quand quelqu’un est en détresse il l’aide MAIS dans les républiques c’est la guerre.

Dans son ouvrage le Léviathan, il explique que l’homme a réussi à surmonter l’état de nature en créant des communautés et des états.

La violence dans les états provient de 3 causes selon lui :

  • La méfiance
  • La fierté
  • La rivalité

°  Dans son ouvrage le Léviathan, Hobbes compare personnifie via ce personnage la société comme un monstre.

 Les éléments qui déterminent les rivalités :

  • Similitude
  • Egalite
  • Fierté

La seule solution à cette violence est l’état car en effet l’état est constitué sur la base d’un contrat (pacte social) et cette constitution fait pur aux hommes qui ont peur de la mort et souhaite vivre dans la paix. Chacun renonce à sa liberté pour une autorité souveraine.

  1. Hobbes a-t-il raison ?

  • Pour Aristote ce que Hobbes écrit est un état de dégénération.
  • D.Hume, enquête sur les principes de la morale. Pour lui entre les personnes qui s’aiment la justice ne compte pas. Mais on ne peut pas non plus penser que lorsqu’on se hais on doit oublier la justice.
  1. Biologie de la violence

Pour Laurenz ce qui distingue les conditions violente de l’homme à celle de l’animal sont simples :

  • Il n’y a pas de véritable comportement d’agressivité de prédation chez l’animal cela lui vient de sa nourriture. Une agression n’est pas pour lui une violence puisqu’elle se passe au sein de la même espèce.

°  Ce comportement d’agressivité descend de la théorie de Darwin et trouve des avantages à ce comportement.

  • Celui qui gagne le duel peu davantage se diversifier
  • A la suite de celui-ci une répartition spéciale s’opère
  • Le combat finis par structurer le groupe par une hiérarchie

Cette agression est avant tout un combat réglé qui joue un rôle important, et ses mécanismes d’inhibitions sont réglementés et proportionnels.

Mais peut-on appliquer ce schéma à l’homme ?

  • Lorenz explique que la morale remplacerait les mécanismes d’inhibitions chez l’homme MAIS 2 éléments vont faire que nous hommes sommes différents des animaux :
  • Nous sommes des animaux sociaux, rangés par groupes.
  • Nous quand nous affrontons nous nous affrontons à morts (= animaux) [pic 2]

La guerre chez l’homme est réglée par la morale mais celle-ci n’empêche pas l’homme de faire la guerre.

Or selon Laurenz, nous hommes sommes relativement exposé car nous ne possédons pas de réelle défense MAIS l’homme produit des armes (aucune autre espèce ne fait ça).

  • Mestre, explique qu’à l’époque et même encore aujourd’hui personne ne souhaite approcher le bourreau car il fait peur et est dangereux. Or celui-ci est indispensable à nos sociétés et est irremplaçable.

° Certains adhèrent au tottenisme, càd pensant descendre d’un animal tottem. Cet animal est tabou, on ne le chasse pas et on ne mange pas chère. Cet animal est censé veiller sur les membres du clan et de lanière exceptionnelle on se réunit pour manger l’animal (= repas tottemique). Mais ce ne sont pas les seules règles puisque les membres s’interdisent tout rapports sexuels et mariage.

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