Les écritures Du Japonais
Compte Rendu : Les écritures Du Japonais. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar bakagio • 14 Mai 2013 • 1 437 Mots (6 Pages) • 871 Vues
Écritures du japonais
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Écritures du japonais
kanji (漢字)
tōyō kanji (当用漢字) ;
jōyō kanji (常用漢字) ;
kyōiku kanji (教育漢字),
jinmeiyō kanji (人名用漢字).
Lectures on’yomi (音読み) et kun’yomi (訓読み).
kana (仮名)
man'yōgana (万葉仮名) :
hiragana (平仮名),
katakana (片仮名),
hentaigana (変体仮名).
Emplois spécifiques :
furigana (振り仮名) ;
okurigana (送り仮名).
rekishiteki kanazukai (歴史的仮名遣)
rōmaji
Hepburn ;
kunrei-shiki ;
nippon-shiki ;
JSL ;
wāpuro rōmaji.
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Les types d'écritures du japonais sont au nombre de trois :
un ensemble de logogrammes : les kanji
deux syllabaires : hiragana et katakana,
et l'usage de l'alphabet latin rōmaji dans certains cas plus restreints.
Sommaire [masquer]
1 Histoire de l'écriture japonaise
2 Directions de l'écriture japonaise
3 Exemple
4 Kanji
5 Hiraganas et katakanas
6 Rōmaji
7 Liens externes
Histoire de l'écriture japonaise[modifier]
L'écriture japonaise est venue de Chine au ive siècle. Il n'y a pas de preuve définitive d'écriture spécifiquement japonaise utilisée au Japon auparavant. La langue japonaise s'est, durant des siècles, accommodée des sinogrammes pour forger une écriture composée, aujourd'hui, de quatre systèmes graphiques ; kanji (sinogrammes), hiragana et katakana (deux écritures syllabiques) et rômaji (l'alphabet latin). C'est le hasard qui a fait de la Chine le voisin du Japon, alors qu'il aurait été bénéfique pour la langue japonaise d'avoir comme voisin un pays avec un système d'écriture alphabétique qui aurait été mieux adapté à sa langue. Contrairement à la langue chinoise qui connaît des tons, la langue japonaise est atone, et la compilation des kanji donna lieu à de nombreux homophones. Seule l'écriture fait foi. De ce fait - et pour d'autres considérations d'ordre historique et culturel - on ne pourrait pas envisager, aujourd'hui, d'abolir les kanji pour instaurer une écriture purement phonétique. Mais la langue reste évolutive, et les moyens contemporains de communication ne sont pas entravés au Japon. Au contraire, les kanji ont des avantages : ce sont des condensés d'information.
Il existe plusieurs formes d'écriture primitives appelées jindai moji (également kamiyo moji, 神代文字, lit. « écriture de l'âge des dieux ») qui fut trouvée récemment, quelques caractères vaguement pictographiques, quelques caractères runique en apparence, et d'autres très proches des Hangul coréens. Ils sont maintenant considérés comme des faux utilisés pour promouvoir le nationalisme japonais qui auraient été créés dans les années 1930. Des exemples peuvent être trouvés sur Internet Sinmoji.
L'arrivée officielle des « lettres chinoises » ou kanji aurait eu lieu en 552 selon le Nihonshoki de l'an 720. Il s'agit d'un envoi d'une statue de bouddha et de sutras par le roi Syöng-Myöng du royaume coréen de Paekche à l'empereur du Japon Kinmei. Une autre source, le Gankōji engi, donne la date de 538.
Initialement, les sinogrammes n'étaient pas utilisés pour écrire le japonais; être lettré signifiait posséder l'habileté de lire et écrire le Chinois classique. Il existait autrefois un système appelé kanbun (漢文), qui utilisait à la fois les caractères chinois (kanji) et quelque chose de très similaire à la grammaire chinoise, des marques diacritiques étaient placés à côté des caractères chinois pour aider à faire comprendre l'équivalent japonais. La première chronique historique écrite du Japon, le Kojiki (古事記), aurait été compilée avant 712, et aurait été écrite en kanbun. Aujourd'hui, les universités japonaises et quelques lycées enseignent toujours le kanbun dans leur cursus littéraire.
Il n'y a pas eu de système d'écriture de la langue japonaise orale jusqu'au développement des man'yōgana (万葉仮名), qui utilisaient des caractères chinois pour leurs propriétés phonétiques (dérivées de leur lecture chinoise) plutôt que pour leur valeur sémantique. Les man'yōgana ont initialement été utilisés pour écrire de la poésie, comme dans le Man'yōshū (万葉集), qui fut compilé avant 759 et qui donna son nom au système d'écriture dérivé. Les hiragana et les katakana sont tous deux dérivés des man'yōgana.
Directions de l'écriture japonaise[modifier]
Voir Horizontal and vertical writing in East Asian scripts (en)
Traditionnellement, le japonais s'écrit au format tategaki (縦書き?), c’est-à-dire
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