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BTS culture générale, le street art

Synthèse : BTS culture générale, le street art. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  8 Avril 2021  •  Synthèse  •  818 Mots (4 Pages)  •  1 160 Vues

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Synthèse:

Le street-art est né aux États-Unis dans les années 70. Par la suite, il a voyagé jusqu'en Europe au début des années 80. C'est principalement un art éphémère vu par un très grand public. C'est dans le métro de New York que le graffiti fait son entrée en Amérique dans les années 1970. Aujourd’hui, il est de plus répandu, et pose parfois certains problèmes.

Dans ce corpus, il nous est présenté 3 documents différents, tout 3 relayant d’un thème commun, le “street-art”, et plus particulièrement, du tag et du graffiti.

Le premier document est un article qui s’intitule « Les tagueurs sont dans la ville », écrit par Jacqueline Rémy dans l’Express le 24 juin 1988.

Le deuxième document quant à lui, est également un article, écrit par Otto Hahn, s’intitulant « Histoire de graffiti » et publié le 23-29 octobre 1987 dans l’Express.

Le troisième et dernier document est un article de Alain Faujas se nommant « Profession : chasseur de tags », et publié le 12 octobre 1990 dans Le Monde.

Ainsi, une question se pose, le street-art est-t-il une bonne chose pour la société ?

Pour répondre à cette question, cette synthèse traitera dans une première partie, du fait que le street-art relève de beaucoup de talents et qu’il suscite un aspect positif pour la société, mais nous verrons dans une deuxième grande partie que ce phénomène peut également être associé à du vandalisme.

Tout d'abord, le street-art peut être considéré comme un art, et est apprécié par de nombreuses personnes car il relève de beaucoup de talents.

Premièrement Otto Hahn nous dit que le plus souvent, les dessins sont anonymes, et que si l’on le bloque la, il réapparait plus loin, comme si ces dessins étaient infinis, Jacqueline Rémy rejoint cette idée en disant que les dessins, les graffitis sont énigmatiques, mystérieux, et qu’aussitôt ils sont effacés, aussitôt ils sont ressuscités, ce qui signifie également qu’ils laissent paraitre qu’ils sont “infinis”. Pour Jacqueline Rémy, le tag est un hiéroglyphe urbain et moderne, tandis que pour Otto Hahn, le tag a selon lui bien évolué, notamment par des poèmes ou encore des lettrages.

Ensuite, Otto Hahn nous montre qu’il est possible de passer d’un taggeur dans le métro à un artiste atteignant des enchères records. Mais ces propos rejoignent ce que dit Alain Faujas, il dit que cet art, qu’est le tag dans le métro, a dû être protégé par le VRAG malgré tout.

Finalement, nous pouvons voir dans l’article de Jacqueline Rémy ou encore de Otto Hahn, que le street-art, plus précisément le tag, permet également une ouverture sur le marché de l’art, beaucoup d’artistes arrivent à faire de leur passion, un vrai métier, comme par exemple Keith Haring ou encore Jean-Michel Basquiat.

Dans

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