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INSERTION DE L'INTELLIGENCE ÉCONOMIQUE DANS LES PRATIQUES MANAGÉRIALES DES ENTREPRISES AFRICAINES

Cours : INSERTION DE L'INTELLIGENCE ÉCONOMIQUE DANS LES PRATIQUES MANAGÉRIALES DES ENTREPRISES AFRICAINES. Recherche parmi 300 000+ dissertations

Par   •  9 Septembre 2019  •  Cours  •  10 383 Mots (42 Pages)  •  614 Vues

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SIGLES ET ABREVIATIONS

AFDIE : Association Française des Professionnels du Domaine de l’Intelligence Economique

CCIM : Chambre de Commerce et d’Industrie de la Moselle

CEEAC : Communauté Economique des Etats d’Afrique Centrale

CIIE : Communauté Ivoirienne de l’Intelligence Economique

DG : Directeur Général

ICS : Industrie Chimique du Sénégal

IE : Intelligence Economique

NTIC : Nouvelle Technologie de l’Information et de la Communication

SAR : Société Africaine de Raffinage

SENELEC : Société Nationale d’Electricité du Sénégal

SI : Système d’Information

SONACOS : Société National de Commercialisation des Oléagineux du Sénégal

UCAD : Université Cheikh Anta Diop

UCAO : Université Catholique de l’Afrique de l’Ouest

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LISTE DES TABLEAUX ET FIGURES

Les tableaux

Tableau n°1 : Quelques définitions de l’intelligence économique

Tableau n°2 : Différents styles managériales

Tableau n°3 : Différents types de recommandations

Les figures

Figure n°1 : Fonctions de l’intelligence économique

Figure n°2 : Rattachement hiérarchique

Figure n°3 : Les étapes de la démarche de l’IE

Figure n°4 : Analyse des besoins en information de l’entreprise

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SOMMAIRE

INTRODUCTION GENERALE 1

CHAPITRE 1 : ANALYSE THEORIQUES 5

SECTION 1 : CLARIFICATION DES CONCEPTS CLES 5

SECTION 2 : REVUE CRITIQUE DE LA LITTERATURE 15

CHAPITRE 2 : ANALYSE DE LA SITUATION 22

SECTION 1 : METHODOLOGIE DETAILLEE DE L’ETUDE 22

SECTION 2 : ANALYSE DU PROCESSUS D’INSERTION DE L’IE DANS DES ENTREPRISE AFRICAINES 24

CONCLUSION GENERALE 32

INTRODUCTION GENERALE

Le monde dans lequel nous vivons aujourd’hui place la compétitivité des individus, entreprises, organisations et même des territoires au centre des rapports économiques, plusieurs motifs laissent penser qu’aujourd’hui le développement ou la compétitivité d’une économie n’est garantie que par la perfection et l’innovation en termes de la gestion de ses entités économiques et ses collectivités publiques.

Cette perfection basée principalement sur la production de la connaissance structurée, la prise en considération de la pluralité des acteurs dans le processus de la prise des décisions et la mise en œuvre des stratégies garantissant la sécurité économique, émane de la manière dont s’exerce l’autorité politique, économique et administrative dans la gestion des affaires, ou bien du processus par lequel ces affaires se pilotent et se dirigent. Tout simplement cette perfection émane d’une bonne mise en place des pratiques managériales dans la gouvernance.

Les acteurs économiques, privés et publics, sont aujourd’hui confrontées à plusieurs changements majeurs. La mondialisation de l’économie, en premier lieu, bouleverse la division internationale du travail et ouvre tous les marchés aux vents de l’hyper-concurrence. Les NTIC en second lieu, ont révolutionné l'accès à l'information dans tous les secteurs de vie des entreprises modernes, envahissent et envahiront encore avec plus de virulence la configuration des relations humaines et le cadre conceptuel du travail pour répondre aux besoins des entreprises. , Enfin, la prédominance des normes juridiques, techniques et des bonnes pratiques dans la régulation des rapports de force économiques conditionne largement l’accès aux marchés. Les entreprises, leurs réseaux, et les organismes qui accompagnent leur développement sont sommés d’entrer dans un processus de transformation de leurs organisations et de leurs stratégies pour répondre à ces défis.

Ces changements influencent le processus d'acquisition d'informations et, conséquemment, leur mécanisme décisionnel. De ce fait, le développement des entreprises, leurs existences, leurs compétitivités, et donc leurs pérennités, passent par une véritable maîtrise des pratiques managériales, et deviennent plus dépendante de la capacité d'adaptation et de la vitesse de réaction dans cet environnement complexe. Les procédés managériaux qualifiées proviennent des entreprises elles-mêmes et sont davantage le fruit de convictions de leaders, de paris un peu fous en réponse à une situation de crise, de bon sens, d'échanges entre personnes, d'expérimentations audacieuses. Cette nouvelle donne économique, s'amène avec son cortège de nouveaux comportements et styles managériaux imposant une véritable maîtrise des pratiques ou procédés pour savoir et surtout agir à temps.

C'est dans la convergence de toutes ces situations nouvelles sur le plan mondial et l'explosion de nouvelles technologies que va émerger « l'intelligence économique », par la suite qu’on appellera « IE », un concept, un dispositif managérial usant des méthodes actives de gestion de flux informationnels. C'est une approche qui met en relief le développement des pratiques managériales, les connaissances, les compétences et les relations de la firme avec son environnement. Selon Jérôme DUPRE (manager Renault-Nissan), elle « met les entreprises dans

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