La disparition

La disparition

Introduction :

Résumé : c'était l'histoire d'un dénommé honoré Subrac qui avait la faculté de se fondre dans les murs il avait découvert cette capacité un jour lorsqu’il étais avec sa maitresse et que le mari de celle-ci  arriva un fusil à la main tuant sa femme encore dans la chambre.honoré Subrac n'avais qu'une envie c'était de disparaître il le voulait tellement qu'il disparu, il se fondit dans le mur et lorsque son mari partit, il repris ces couleurs, il passa du blanc au beige et au marron. Le lendemain il réessaya mais cela ne remarchait pas il n'arrivait pas à devenir le mur. A ce moment là, il comprit qu’il fallait être nud. Alors à partir de ce jour,il se balada en houpelande et ne portait rien en dessous. Un jour, lorsqu’il se baladait, il aperçut un homme fou de rage qui le cherchait et il se cachat dans un mur. Mais tellement que son mari étais fou de rage que le mur lui ait pris sa victime qu’il decharga son revolver sur le mur.              <<L’homme au revolver s’arrêta stupéfait, poussant une exclamation de rage, et, comme pour se venger du mur qui semblait lui avoir ravi sa victime, il déchargea son revolver sur le point où Honoré Subrac avait disparu. Il s’en alla ensuite, en courant …>>,<< la muraille, elle était encore tiède, et je remarquai que, des six balles de revolver, trois avaient frappé à la hauteur d’un cœur d’homme, tandis que les autres avaient éraflé le plâtre, plus haut, là où il me sembla distinguer, vaguement, les contours d’un visage>>. 

Les personnages évoluent dans Paris .on avait su qu’honoré Subrac s’y etais réfugier pour échapper à l'homme qui veut le tuer plusieurs décors sont cités dans l'enceinte d'une caserne qui sera le tombeau d’honoré Subrac et celui d'un endroit près de la maison de son ami nous savons aussi que l'histoire se déroule après la construction de la tour Eiffel. je site «j'étais en train de me changer en autobus, en tour Eiffel en académicien, en gagnant du gros lot.mes efforts furrent vaint.je n’y etais pas .Ma volonté n’étais pas assez forte et puis il me manquait cette sainte terreur,ce formidable  danger qui avait éveillé mes instincts… »

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