Colloque De La Performance

Begog : Donc on est a la question de la representation de la performance , de ces enjeux majeur de la performance de la question de point de vue de l’exposition et de l historiographie qu’on a decite a ouvrir pour le debat aujourd hui .

Katherine : La performance se caracterise nottament par son caractere ephemere , de ces fondaments interdeciplinaires ..et de son implication dans le contexte socio politique des anees 1970 a etait long temps exclue de la pencee dominante de l histoire de lart et de l histoire des expositions . Elle est nee dans les anees 1990 grace au retour du corps dans l art contemporaine , et cette practique artistique a etait saisie en tant que l ‘objet de recherches practiques theorique et historique , par les chercheurs palsticciens , theoriciens et historiens. Il aparait aujourd’hui comme un champ de recherce incontournable dans les universitees et dans les ecoles d ‘art du monde entier , et nourrit egallement un champ interdeciplinaire de Performance Studies. Si la question des conditions d’expositions et de la performance autrement dit de ca representation, est aujourd’hui au coeur des debats, c’est qu’elle veut senctioner deux decenies d’exposition de la performance dite ‘historique’ et que ces expositions en Europe et aux Etats Unis entre 1991 et 1994 ensucitees dans le champs des practiques contemporaines une reflexion sur les modalitees de representation de la performance. Comment en effet presenter un nouveau des practiques ephemeres, parralellement a l usage du document . Et donc on observe aujourd’hui depuis une disaine des anees un recours d une nouvelle strategie qui consiste a representer une performance de la rejouer . Le reenacmunt developee par des artists contemporaines permet d ‘envisager l’histoir d ‘un point du vue pactique a la faveur d ‘un brouillage des frontieres entre la presentation et la representation entre le reel et ces projections.

Begog : Le phenomene de reenacment assoucitait un grand nombre des publicitees dans les pays anglo saxones , en france a l’exception de quelques revues specialises ce phenomen reste encore peu aborde. Donc pour .......... on a 3 anexes de reflexion :

1 Practique de la documentation de l’aquisition de la conservation et de l ‘archivage de la performance

2 Releves des modalitees d ecpositions de la performance et en particuller l usage des reliques et de la practique de reenacment comme autant des moyens de representation de ces oeuvres ephemeres.

3 Recit sur l historisation de la performance.

Ces axes pouvait ainsi se resumer en quatres mots : archiver, institutionaliser, rejouer , raconter.

Khaterine : Comme nous sommes un departement des arts visuels on privelegie ici la creation et les demarches artistiques ....

Begog : ( Presentation de Chantal Pontbriant ) biographie http://www.archivesdelacritiquedart.org/outils_documentaires/critiques_d_art/350/bibliographie

Begog a zis sa luam de aici biografia ei .

Actuellement Chantal travail a la redaction d un ouvrage dedie a la performance ‘Pourquoi la performance aujourd hui ?’’

Chantal Pontbriand : Quand je pense a l’archive je peux pas m ‘empecher de penser a son contrarion de l’anarchive. Quand quelqu un m a demande de parler de critique d art j ‘ai aussi parle de l anarchive en se sens que en art contemporain pour nous l histoir est plutot quelque chose a activer qq chose a conceptionaliser de facon close ,ou refermer sur elle meme en elaborant des grands theories qui peut a un moment peuvent sembler seduisant et definitives mais qui sont toutjour a remetre en question. Alors c’est pas dans mon esprit que l archive est un anarchive, enfait c’est plutot un defaut proffesionel de ma part de penserr comme ca , c ;est peut etre que il ya peut de performance dans ma vie ( zice cu ironie si ride))). Alors , voila , je vois le mot archive comme un mot de connatation diverse, comme bien sur l histoir document pasee memoir , comme qq hose de statique de deja la , de existant, et peut etre un peut dormant a mon avis, un sorte de cimitiere de l histoir culturelle d une epoque d un eveniment , d une personne du pasee. On peut aimer les cimitier, il ya bcp des poets qui on aimee et bcp des malfaiteurs qui on trove leur fortune critique avec les cimitiers. Mais ni poet ni malfaiteur , enfait, qu est que le critique d art ou l historien de lart peut faire avec cette question d archive , et specialement de l archive de la performance ? il ya bien sur la dimension autoritaire de l archive qui reste et celle ci peut attirer autant quelle peut rebuter , hiatoriquement dans un pasee lointain on sait que les archeve sont celle qui sont censees de concerver la memoir et l’autorite des des institutions ...etatique parca ....( nu inteleg ce cuvint e acolo) et religieuse. Le source du mot commence de l’archiom en latin et archian en grec , therme designant des magistrats superieurs puis eventuallement l endroit ou on depose les pieces officielles. Le terme grec en fait vien du verb Commander. Alors tout ca s acorde avec une vision , que moi je crois un peut pateiste ( paciste)... ? du role autoriste de l historitien ou du critique de lart. C’est un art en soi qui consiste a dire le vrai par l

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