Journal de bord, analyse chorégraphique.
Rapport de stage : Journal de bord, analyse chorégraphique.. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar agautier • 5 Novembre 2016 • Rapport de stage • 441 Mots (2 Pages) • 970 Vues
GAUTIER Arthur
Journal de bord
(analyse chorégraphique)
13 septembre 2016
J'ai identifié l'outil de l’improvisation pendant le cours mais pas seulement l'improvisation libre. J'ai remarqué que dans chaque improvisation que j'ai traversée il y avait une « contrainte » qui nous permettait d'entrer dans un état de recherche : par exemple lors de la première improvisation nous devions danser avec une partie du corps figée ce qui se traduisait par une sorte de handicap, et cela illustre bien cette idée de recherche car le handicap permet de bien sentir comment rechercher d'autres chemins de mouvements. Pour ma part j'avais le dos courbé et bloqué donc je devais essayer de trouver comment mobiliser mes autres parties du corps tout en gardant ce handicap. C'était intéressant car ç’a m'a permit de découvrir des chemins de mouvements. L'intérêt est de rechercher comment la contrainte peut amener des nouveaux chemins de mouvements.
20 septembre 2016
Ce cours était très intéressant car nous avons mis en commun par groupes de 4 nos observations du cours précédent. C'était très intéressant de connaître l'avis des autres et de voir ce qu'ils avaient préféré ou retenu du cours et noter les différences et liens qu'il y avait entre leurs observations et les miennes. Cela permettait aussi de pouvoir compléter ses propres notes grâce à l'avis des autres. Ensuite on présente oralement la synthèse de notre échange a toute la classe puis on commence à définir des notions comme le terme de corps de conscience et de l'empathie ainsi que sa différence avec la sympathie.
27 septembre 2016 (La corporéité comme base de données)
Durant ce cours nous avons regarder une interview de Régine Chopinot qui parlait du rapport entre le corps du danseur et le corps du spectateur ainsi que d'un malentendu par rapport à l'interprétation d'une pièce chorégraphique comme quoi il y aurait quelque chose à comprendre alors qu'il suffit de ressentir. Ainsi le publique a des priorités esthétiques. De ce fait Régine Choinot a créé une pièce sans aucun artifice susceptible d'attirer le regard du publique pour qu'il se concentre uniquement sur la danse et la qualité du mouvement. Puis suite a l'explication de la phrase de Michel Bernard qui dans dans son œuvre Le Corps dit que la corporéité est un « réseau matériel et énergétique, mobile et instable, de forces pulsionnelles et d'interférence d'intensités disparates et croisées », nous avons vu que les les 5 sens se croisent, c'est le chiasme sensoriel. Puis nous avons vu 5 extraits de pièce et il fallait noter pour chacune si il y avait ou non le jeu de la gravité, le jeu avec le temps, le jeu avec les formes, et la dimension autoréflexive.
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