Coups bas dans la musique

GRIS GRIS, MARABOUTAGE, COUP BAS… Quelles limites certains artistes sont-ils prêt à franchir pour le succès…

        Le showbiz, en général, est un milieu de contraintes où tout artiste cherche à enlever son épingle du jeu. Alors pour se frayer un chemin dans cette foule de sujet cherchant refuge dans cette planète, les artistes sont souvent tentés à user de moyens moins orthodoxes ou pas du tout catholiques pour arriver à leurs fins.

        Dans un premier temps la musique est une profession forcé comme si indispensable à la vie de la jeunesse béninoise. Elle veut être embrassée par tous. On assiste parfois à l’usage de potion magique ou des gris-gris pour rendre un tant soit peu sa voix agréable et cependant forcé le talent. Même si ces cas ne sont pas connus de tous, elle reste une réalité dans cet univers.

        Nonobstant ce cas des plus insolites énumérés, les artistes s’engage dans les conflits entre eux qui parfois inutile qu’ils soient permettent de savoir qui garde le cap et le drapeau pour brandir cette musique et défendre au péril de sa carrière cette dernière…

        Dans nos familles musicales traditionnelles aujourd’hui, cette défense de carrière est très aigus ce qui cause parfois des décès dû le plus souvent à des envoutements… Entre maraboutage et mort circonstanciel, le choix n’est pas alternatif.

        Dans un univers ou le nombre d’artistes avoisine le nombre de consommateurs, les coups bas restent le meilleur moyens de se faire du buzz, de créer polémique dans le camp de l’adversaire (concurrents). Parmi les moyens utilisés pour effectuer ces coups bas, le « kpakpatoyage » reste un ami fidèle aux artistes pour créer des conflits. L’artiste ne partagera point la production de la concurrence, LOL, comme si ce showbiz béninois a l’âge de se faire des ennemis entre acteurs.

        C’est à croire que le showbiz est devenu de la politique où se déroule boycott, ragot, mensonge, fakenews… On constate  mêmes que depuis quelques années cette attitude s’accroît dans le rang de nos artistes comme si indispensable à la prise de contrôle du game.

        Le dernier aspect est le phénomène « Léwé » qui a depuis un bon moment permis aux artiste de se révélé. Où la cyber-escroquerie prend pour base des divinités Vodu qui demande de plus en plus d’offrandes allant jusqu’à du sang humain ce qui a causé la disparition de nos enfants. Un autre phénomène de la même famille est celui de « sa ta » qui a permis à certains artiste de pouvoir faire évoluer.

        On se retrouve dans une désolation sanglante quand on se rend compte que des artistes usent et abuse de ces moyens pour atteindre leurs objectif et on se demande quel limites ont ces artistes dans la recherche de plénitude dans leurs carrières.

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