Wajdi Mouawad : Incendies

   Ce texte a été écrit par l'auteur Wajdi Mouawad, en 2003. Il s'intitule "Incendies". Il résume l'histoire de deux jumeaux, Jeanne et Simon, qui viennent de perdre leur mère. Cette dernière n'avait donné aucune de ses nouvelles pendant cinq ans et a menti l'existence de leur père et leur frère. Hermile Lebel, leur notaire, révèle le contenu de son testament. Cet extrait raconte comment les deux frères et soeurs découvrent l'histoire de leur mère. Nous allons à présent nous demande comment ce texte nous montre-t-il que la mère de Simmon l'a profondément atteint. En premier lien, nous allons voir comment Simmon montre-t-il sa frustration vis-à-vis de la mort de sa mère, et dans un second temps, la confrontation entre le notaire et Simmon.

   Nous allons donc maintenant nous intéresser sur comment Simon montre-t-il sa frustration vis-à-vis de la mort de sa mère. Pour cela, comment Simon nous montre-t-il qu'il en veut à sa mère de l'avoir délaissé de cette manière, et de partir ainsi. Simon est complètement frustré : "Je ne vais pas pleurer [...] mort". On a l'impression qu'il se force à ne pas pleurer, comme s'il n'en avait pas le droit. Il répète qu'il ne va pas pleurer, comme pour se l'en assurer. Il va même jusqu'à jurer: "jure ; "on s'en crisse-tu" ; "tabarnak". Il insulte, il est rongé de haine te de tristesse, comme s'il allait craquer. Il ne veut rien devoir à sa mère et surtout pas une larme (l.2). On ressent sa haine à travers ce texte par les points d'exclamation , sa rage. Il ne veut pas assumer sa mère, mais encire une fois ne surtout pas pleurer (l.3-4). C'est une obligation pour lui, un devoir, une sorte de vrengeance. Il finit même par comp        rer le coeur de sa mère à une brique. C'est une métaphore. Il dénonce le malheur qu'elle lui a fait à lui et à sa soeur, et cherche à prouver quelque chose auprès de sa génitrice en ne se versant aucune larme.

   A présent, nous allons nous interésser à la confrontation entre le notaire Hermile Lebel et Simon. Dans une première partie, comment le notaire cherche-t-il à la défendre ?

Hermile Lebel cherche tout d'abord à rassurer Simon en lui montrant qu'il a de la compassion et qu'il comprend sa colère, que son histoire est très touchante : "C'est pas tous les jours [...] dans le monde" (l.8-10-11 et 12). Il dénonce en revanche l'importance d'unn testament et sa légitimité, comme quoi même Simon ne peut pas en douter. Il confronte Simon, en prenant la défense de la mère de ce-dernier, et qu'il a le droit de le faire, car pour lui, il la connaît autant que Simon. Malgré l'arrogance de l'orphelin, il continu de la défendre, en montrant que si elle a fait ce choix, c'est qu'elle le devait, que l'on a l'obligation de la croire, et que , malgré ce fait que Simon l'enterrer brutalement, il doit respecter ses choix, peu importe l'opinion de son fils. Contrairement au déut de l'extrait, Hermile Lebel est énervé, de part ce début mouvementé.

   Dans cette seconde sous -partie, nous allons intepréter la colère de Simon, etv pourquoi est-il en si désaccord avec le notaire.

Il commence par l'insulter de "tête de gland", à peine a-t-il essayer de le rassurer. Il n'en fait qu'à sa tête et ne veut rien écouter, pas même sa mère. Il refuse de croire qu'elle dit la vérité, que ses soit-disant père et frère soient encore vivants (l.14). Encore une fois il ne veut pas débattre avec le notaire, et veut lui prouver qu'il n'y a que sa parole qui compte, et qu'il est le plus à même de prendre des décisions qui la concerne. Il répète : "ça ne me tente pas de discuet avec vous", comme de la provocation. Il ne veut pas que cela se sache., quitte à l'enterrer sauvagement, comme il le décrit de la ligne 23 à 25, ce qui déplaît beaucoup au notaire. La réaction de ce-dernier deplaît cette fois-ce à Simon qui juge sa place pour lui dicter quoi faire vis-à-vis de sa mére, encore une fois de la provocation (l.28). A la fin de cet xtrait, il craque complètement et crie tout ce qu'il a sur le coeur, il montre sa haine envers sa mère, son attitude, irresponsable, et ce qu'elle a fait, commis, ce qui, d'après l'extrait, laisse le notaire sans voix.

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