Derrière nos écrans de fumée

 Derrière nos écrans de fumée

Derrière nos écrans de fumée est un documentaire produit et diffusé par la plateforme Netflix sur les bienfaits mais surtout les dangers et les vices des réseaux sociaux détournés.

1. Des réseaux à la base inoffensifs.

Les réseaux sociaux tels que Instagram, Twitter, Facebook, Snapchat ou encore Pinterest ont été un tournant pour notre société, ils sont des acteurs majeurs de notre culture actuelle. Ils ont vu le jour afin d’agir pour le bien de tous.        Ils ont permis à des familles perdues de vue de se retrouver, de trouver des donneurs pour les opérations médicales.

Les réseaux nous rendent solidaires, on peut faire des dons d’organes, des dons d’argents pour les plus démunis et l’on partage des informations telles que les disparitions.                                                                                                                     De plus en plus de rencontres ont eu lieu grâce à ces réseaux, des rencontres tant amicales que amoureuses, des relations qui durent ou pas. Les réseaux me permettent de me sentir moins seule et je ne pense pas être la seule ils permettent de rassembler les uns et les autres qui n’avaient jusque-là pas grand-chose en commun mais les réseaux. Nos réseaux sont à la base un moyen de nous exprimer, de créer, de rencontrer et ils remplissent parfaitement cette fonction. Ils nous permettent de nous forger une identité propre, de nous découvrir, de découvrir les autres. Le développement d’un esprit critique et d’une ouverture d’esprit si le réseau en ligne est suffisamment diversifié pour entrer en contact avec plusieurs opinions et perspectives différentes. Cela stimule le développement d’une ouverture vis-à-vis d’autres visions. Le partage de connaissances, les recherches, l’actualité, si nous pouvons faire tout cela c’est bien en partie grâce aux réseaux. Les réseaux peuvent sauver des vies avec les nombreuses préventions, les dons d’organes, les cagnottes.

Les réseaux sont devenus un problème lorsqu’à la place de sauver de nombreuses vies il s’en est mis à en détruire

1. L’éthique de ces réseaux

Les réseaux rencontrent un vrai problème d’éthique à partir du moment où l’utilisateur prévaut sur l’Homme. Tristan Harris qui travaillait au service éthique chez Google a évoqué un problème sans nom provoqué par une seule source.  

Ils sont devenus aussi addictif que n’importe quelle drogue puisque les tètes de ces réseaux ont compris comment le cerveau libère l’hormone de la dopamine qui créé un sentiment de bonheur, un besoin de plus en plus important et demandeur.  

                                                                                                                                           Nos réseaux sociaux utilisent nos données, ils nous vendent de la certitude en scrutant nos données.                                                                                                  Les réseaux visent un public de plus en plus jeune, ils « recrutent » dès le plus jeune âge, est-ce juste ?                                                                                                Le taux de suicide chez les adolescents à excessivement augmenté à cause de l’image qu’ils ont sur les réseaux. Les adolescents ne cessent de se comparer à des modèles inatteignables et ridicules. La confiance en soi étant prônée de partout sur ces réseaux même alors qu’ils la détruisent en imposant des physiques impossibles à avoir naturellement. Ils dénigrent notre image que l’on a de nous-mêmes, d’autrui. Certains passent même le cap de la chirurgie esthétique pour ressembler aux modèles « parfaits » des réseaux sociaux.

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