Regime sans gluten
Dissertation : Regime sans gluten. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar outside • 25 Novembre 2021 • Dissertation • 1 260 Mots (6 Pages) • 424 Vues
CULTURE GENERALE DEVOIR 1
- Le premier document est un article informatif de Jacky Durand et Catherine Mallaval, qui a été publié par le quotidien Libération en Avril 2016. Les deux journalistes, à l’occasion du salon des allergiques et autres intolérants qui s’ouvre à Paris à la même date, recueillant l’avis de trois spécialistes d’horizons divers sur les régimes, donc axes sur l’exclusion d’une substance alimentaire.
Les régimes sont des régimes qui excluent des substances alimentaires, sans produit carné sans lactose… Ces régimes opérant par déductions qui constituent un phénomène discuté, ils regroupent des cas très divers et moins scientifique que les allergies. Cette mode pourrait détenir une face dissimulée.
Ensuite, le nombre d’allergie des allergies en Europe est en augmentation parce qu’elle a été doublé. Tous ceux qui ont fourrer dans ce créneau est prometteur pour l’avenir, pour les avantages industriels du sans gluten. Il a plus de charme d’être végétalien que d’avouer une faiblesse.
Olivier Assouly qui est philosophe, écrit que l’éloignement d’un aliment qui exprime un refus qui ne peut pas se résumer en une seule mode. Elle exprime une vigilance à l’industrialisation de notre alimentation. Mais ce qui se cache sous ses régies est une mutation profonde qui n’est plus un plaisir, mais un calcul rationnel. L’aliment n’est plus qu’un mélange de substances mesurables. Cette mutation est dangereuse car elle sera récupérée par les industriels qu’elle devait rejeter, donc ils pourront cibler les consommateurs en leur donnant leur ration de substance différente. Des désavantages des producteurs artisanaux qui sont incapables de suivre une séparation.
Jean Michel Lecerf qui est médecin spécialiste en endocrinologie, écrit que les régimes n’ont pas de raison d’être. Ils s’inscrivent dans une longue tradition hygiéniste, conduite par des médecins, s’y connaissant très peu en nutrition. D’être à l’origine de tous nos maux, comme si le fait que l’homme soit le seul omnivore généré une panique. Il y’aurait un véritable discours dramatisant qui évoque un empoisonnement collectif et répète à l’envi que tout est pourri, trafiqué. Le seul problème c’est la pauvreté qui emmènent la population à l’obésité et aux maladies graves.
Il y’a aussi peut-être un peu plus de problèmes liés à un excès d’hygiène et à la baisse de l’allaitement maternel, mais l’homme n’est pas en train de s’intoxiquer. Et les croisades contre des aliments, comme il y en a eu sur le lait, sont sans fondement. Et à terme, si de plus en plus de gens se croient allergiques, on ne pourra plus partager de repas ensemble.
Bruno Verjus qui est chroniqueur gastronomique et propriétaire d’un restaurant, est d’accord avec l’analyse de Jean Michel Lecerf qui distinguent 2 catégories de personnes ceux qui sont pauvres et ceux qui sont riche chic. A partir d’une dame riche qui était allergique lui refuser tous les plats pour qu’elle garde sa ligne. L’allergie est un prétexte au régime.
- Le deuxième document est un article informatif, qui est sorti le 26 Janvier 2016 dans le Quotidien Sud-Ouest. Bien au-delà des personnes atteintes d’une maladie coeliaque, sont nombreux car ils optent pour un régime sans gluten, des analyses montrent que les produits sans gluten sont le contraire des biens bénéfiques et peuvent s’avérer dangereux.
Le régime sans gluten accompagné par les patients atteints de maladies coeliaque qui supprime cette substance est une question de santé, la véritable intolérance ne touche qu’une proportion minime de la population (1%) ? ceux qui se soumettent à ce régime sont très nombreux. L’industrie agro-alimentaire sont vite dérober de ce phénomène et commercialise aujourd’hui de nombreux produits dans leur version « sans ». Une analyse réalisée par 60 millions de consommateurs démontre que ces aliments sans gluten sont loin d’atteindre la qualité de leurs équivalents traditionnels.
En supprimant le gluten d’un produit alimentaire, il arrive qu’on en supprime l’essence même comme la farine de blé dans le pain t on se retrouve avec de très nombreux additifs non naturels.
Ensuite, les produits sans gluten sont pauvres en protéines ce qui pose problème au nombre d’adeptes du sans gluten, et aussi aux sans viande.
Enfin, les additifs qui compense l’absence sont à base de sucre divers qui sont à index glycémique élevé ce qui crée des phénomènes de fringales, donc on est poussé à manger davantage avec les produits sans gluten et à grossir plutôt que de mincir. Même si on ne prend plus de gluten, quand on en reprendra même en petite quantité, il sera stocké dans les graisses et provoque dans donc une prise de poids.
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