Les lentilles de contact

Candidate : DE FIGUEIREDO Mathilde Classe : 1èreS5

Partenaires de l’équipe : BAZILE Marine - GOURDON Mathilde

Thèmes : Matières et Forme – Structures

SYNTHÈSE ÉCRITE INDIVIDUELLE

LES OIGNONS

Tout d’abord, nous avions décidé d’étudier les lentilles de contact car nous étions toutes les trois intéressées davantage par l’œil et son fonctionnement. Personnellement, ayant des problèmes de vue, je trouvais ce sujet particulièrement fascinant. Mais, au fur et à mesure de nos recherches, on découvrit que le sujet était assez vaste. En effet, peu d’expériences étaient réalisables et par conséquent, nous ne pouvions point répondre à la problématique que nous voulions démontrer. Cependant, lors de nos recherches, nous découvrîmes que les lentilles empêchaient plus ou moins le larmoiement lorsque le porteur de celles-ci coupait un oignon. C’est ainsi, que nous nous sommes posées une réelle problématique : Pourquoi les oignons font ils pleurer ? Ce sujet assez particulier faisait donc référence à la physique et aux sciences de la vie et de la terre et nous pouvions tout de même, à travers ce dernier, nous renseigner davantage sur notre sujet initial porté sur l’œil. Ainsi, appuyé sur de nombreuses expériences en laboratoire, on dressa tout un dossier expliquant ce phénomène.

Ne connaissant guère d’informations que ce soit sur l’oignon ou sur l’œil en lui-même, on commença nos recherches par nous cultiver davantage au centre de documentations et d’informations grâce aux encyclopédies mises à disposition. On apprit donc par exemple que l’oignon faisait partit de la famille des Alliaceae ou que l’œil, organe principal du système visuel, captait les images avant de les transformées en signal électrique vers le nerf optique. Après avoir pris connaissance des bases, on s’intéressa plus particulièrement au phénomène lié à la coupe de l’oignon en faisant des recherches sur Internet tout en prenant des notes. Tout d’abord, on découvrit que le précurseur d’une multitude de réactions est à l’origine de la rencontre de l’acide 1-propényl L-cystéine sulfoxyde présent dans le cytoplasme avec les enzymes alliinases stockées elles dans la vacuole de l’oignon. Par conséquent, c’est en tranchant les cellules que le phénomène se produit. Mais, en faisant la simple expérience de couper un oignon avec des lunettes de plonger, nous remarquions l’absence de larmes. Ainsi, nous en avions déduis qu’un gaz s’échappait de l’oignon et irritait par la suite l’œil. Mais ce gaz s’avérait différent que les précurseurs de départ.

C’est ainsi qu’on découvrit que plusieurs réactions se produisaient avant que le larmoiement survienne. En effet, deux sont présentes dans l’oignon, une dans l’air et une dans l’œil. Appuyé sur les expériences réalisées, nous les avons donc toutes expliquées au fur et à mesure de notre TPE.

Pour ma part, particulièrement intéressée par la physique, j’ai pris l’initiative de faire les recherches plus approfondies concernant les diverses réactions tandis que mes collègues s’intéressèrent davantage au fonctionnement du système nerveux, du mécanisme

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