Glycémie et diabète

Rossignol Baptiste                                                                                                                                               T°A                                                                                                                                                          

SVT

Exercice type 2 : glycémie et diabète

Le diabète de type 2, ou diabète non insulinodépendant, se caractérise par l’incapacité des cellules cibles, de répondre normalement à l’insuline. Le pancréas produit bel et bien de l’insuline, mais le cellules cibles sont incapable d’absorber le glucose sanguin, de sorte que la glycémie demeure élevée. La résistance à l’insuline que caractérise le diabète de type 2, est parfois due à une malformation héréditaire du récepteur de l’insuline ou de la voie de transduction de la réponse à l’insuline. Bien que l’hérédité soit un facteur dans le diabète de type 2, l’excès de poids et la sédentarité augmente le risque que la maladie s’installe. Cette forme de maladie apparait généralement après 40 ans. Plus de 90% des personnes diabétiques souffrent de diabète de type 2. Ce dernier est la sixième cause de décès en France. Cette maladie représente donc un problème de santé publique de plus en plus important dans le monde. Ainsi découle cette problématique. Quels sont les mécanismes conduisant un individu obèse à un diabète de type 2 et comment l’insuline peut-elle être la thérapie adéquate.

Dans le document de référence, l’insuline stimule différentes voies métaboliques, grâce a des récepteurs à insuline disposé, sur le foie, les muscles et les tissus adipeux. On peut donc en déduire et former l’hypothèse que l’insuline joue un rôle important dans le métabolisme de régulation de la glycémie sanguine.

Dans le premier document est présenté, les caractéristiques d’une personne obèse, on nous dit qu’elle se calcule selon deux facteur L’IMC qui est le rapport du poids en Kg sur le carrée de la taille de la personne en m². Si avec ce calcule l’IMC est supérieur à la valeur de 30KG/m² alors la personne est considérée comme obèse, plus spécifiquement comme ayant une obésité modérée, car il existe deux autres types d’obésité, entre 35 et 40Kg/m², on parle d’obésité sévère et au-dessus de 40Kg/m², d’obésité massive. L’obésité abdominale est considérée comme telle si un homme à un périmètre abdominal supérieure à 94cm et 80 cm pour une femme.

Le graphique nous montre le risque de déclenchement d’un diabète de type 2 en fonction du périmètre abdominal et de l’IMC. On peut donc remarquer une corrélation entre l’IMC, le périmètre abdominal et le diabète de type 2, car plus un homme a un périmètre abdominal élevé, supérieur à 100 cm et un IMC lui aussi élevé supérieur ou égale à 30, le risque d’un déclenchement d’un diabète de type 2 peut être jusqu’à 18%. A l’inverse un individu possédant un IMC faible, inférieur à 25 et un faible périmètre abdominal inférieur à 90 cm, à un risque maximum de 6% de déclencher un diabète de type 2.

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