Change cashout again
Cours : Change cashout again. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Sxfianinho • 19 Février 2019 • Cours • 1 262 Mots (6 Pages) • 644 Vues
Devoir maison : Histoire
Le premier document est un texte, plus précisemment un message d’un commandant canadien lors d’une bataille de la Première guerre mondiale . Ce texte date du 9 avril 1917, quelque heures après la bataille de la crête de Vimy. Globalement, dans ce message, le commandant fait un rapport des lieux, et décrit ce qu’il s’est passé. Par ailleurs, le deuxieme document est une peinture à l’huile faite par Maurice Denis en 1917. La peinture se nomme « Soirée calme en première ligne à Barisis ». Cette oeuvre illustre la vie quotidienne des soldats dans les tranchées. Puisque les deux documents on été fais en 1917, il possède même contexte qui est celui de la Première guerre mondial qui nous le savons a été un véritable bain de sang puisqu’elle a fait environ 18,6 Millions de morts et 22 Millions de bléssés et qu’après cette guerre toute la population voulait qu’il n’y ai plus jamais de guerre. Nous pouvons alors nous demander comment dans ces documents les auteurs témoignent leurs éxperiences de la guerre. Pour répondre à cette question, nous verrons d’une part que cette Guerre Mondiale est une guerre de genre nouveau, elle est différente des autres. Puis nous verrons d’une autre part les souffrances nouvelles que les soldats de cette guerre ont subis.
Effectivement, nous pouvons d’une part observer une guerre de genre nouveau à travers tout d’abord une nouvelle façon de se battre. Nous pouvons effectivement interpreter qu’une guerre de position ou guerre de tranchée est présente. Une guerre de position (ou guerre de tranchée) est une forme de guerre où les combattants s'abritent dans des lignes fortifiées dans lesquelles les soldats sont relativement protégés des armes légères et de l'artillerie. C’est donc une bataille qui entraine une paralysie du conflit et l'épuisement progressif des forces opposée. Cette guerre de position est présente dans la peinture à l’aide du titre « La vie quotidienne dans les tranchées » mais aussi dans le texte à travers les paroles du général comme par exemple lorsqu’il dit par exemple que « le champ de tir est à plus de 350 mètres » ou encore quand il parle de pelle ou de barbelés qui sont des outils qui sont utilisés pour une guerre de position. Toute ces paroles peuvent alors affirmer qu’une guerre de tranchées était bien présente. La guerre de position etant une nouvelle façon de se battre propre à la Premiere Guerre Mondial a donc apporter à cette derniere un genre nouveau.
Nous pouvons nottament observer dans le texte un champ lexical d’armes avec « mitrailleuses » ; « armement » ; « obus » ; « barbelées » « et « artillerie ». Toute ces armes sont nouvelles mais devastatrice. Une guerre de materielle est donc présente, c’est une guerre avec des armes très perfectionnés. Dans cette guerre, ce sont les soldats qui ont les le plus d’armes et les armes les plus développés qui gagneront. C’est pourquoi nous voyons dans la peinture que presque chaque soldats possèdent un outil à la main et que dans le texte, le général porte des détails sur les armes comme par exemple, quand il dit qu’il a un mitrailleur mais il a perdu la broche d’armement de son arme. Le général ordonne aussi a ses soldats de nettoyer les equipements afin d’avoir un materiel utilisable et performant.
Enfin, les informations dans le texte que nous fournis le commandant ne sont pas sure. Effectivement, l’auteur du texte emploie beaucoup de procédés afin de dire qu’il n’est pas sure de ses informations ou qu’il ne les connais pas comme par exemple « je n’ai aucune idée » « vers cet endroit » « je ne peux […] mais je crois » ou encore « a peu près ». On peut ainsi interpreter que le général fais exprès de ne pas tout dire dans sa lettre afin que si l’ennemi arrive à intercepter la lettre, le général n’aura pas envoyer des informations qui peuvent être utiliser contre lui comme par exemple le nombre de morts ou encore les déplacements qu’ils vont faire. C’est donc aussi une nouvelle façon de se proteger, de ne pas se mettre dans une situation délicate.
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