La crise Internationale

On peut justifier le phénomène avec la notion de comportements mimétiques, c’est-à-dire que par absences d’informations, les investisseurs vont adopter les mêmes comportements pour surfer sur la vague

Ce phénomène en entraine un autre, c’est celui de la prophétie auto réalisatrice. En anticipant un évènement sur le marché, les agents modifient leur attitude de manière à optimiser les chances que cet évènement survienne.

Les bulles prennent généralement plus d’ampleur lorsque le grand public a connaissance d’une hausse importante d’un ou plusieurs actifs.

D'une manière générale, une bulle spéculative se définit comme une augmentation durable et auto-entretenue de l'écart entre le prix et la valeur fondamentale d'un actif (action, obligation, monnaie, matière première, etc.)

Les bulles spéculatives conduisent quasiment toujours à des crises de panique sur les marchés boursiers.

On peut justifier le phénomène avec la notion de comportements mimétiques, c’est-à-dire que par absences d’informations, les investisseurs vont adopter les mêmes comportements pour surfer sur la vague

Ce phénomène en entraine un autre, c’est celui de la prophétie auto réalisatrice. En anticipant un évènement sur le marché, les agents modifient leur attitude de manière à optimiser les chances que cet évènement survienne.

C’est lorsqu’il y a un très grand écart entre la valeur de l’actif et les fondamentaux de l’entreprise.

On observe sur le cours du Nasdaq une courbe aux allures de bulle spéculative, avec un éclatement de la bulle vers 5049 points. Les valeurs technologiques sont souvent sujettes à de fortes spéculations boursières

• La Banque de France et la BCE veillent à ce que les banques françaises ne prennent pas des risques inconsidérés.
• La BCE a le pouvoir de sanctionner les banques qui prennent trop de risques inutiles.
• Depuis 2008, l’UE a établi une garantie bancaire aux ménages, chaque compte courant est garanti à hauteur de 100 000 €.

II C Les ratios de solvabilité vont pousser les banques à des comportements plus prudents, notamment pour l’emprunt, et les spéculations. Il y aura donc une réduction du risque d’aléa moral.

Les banques ne vendront plus massivement leurs actifs, pour limiter ainsi le risque de contagion des faillites dans le reste du secteur bancaire.                                        

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