DM SES

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Première partie:

1. Quels sont les déterminants de l’offre de devises sur le marché des changes ?

Le marché des changes est un marché ou s’achètent et se vendent les devises, c’est à dire les monnaies étrangères convertibles. La confrontation de l’offre et de la demande de devises permet la détermination du prix d’une devise dans une autre (cours du change).

Le niveau de l’offre et de la demande d’une devise est déterminé par de nombreux facteurs. Les déterminants fondamentaux du taux de change entre deux monnaies sont d’abord le solde de la balance des transactions courantes: S’il est excédentaire cela signifie que le pays a gagné grâce aux exportations plus qu’il n’a dépensé en importations. Puis l’écart de taux d’intérêt, si le taux est élevé, il devient intéressant pour les spéculateurs d’acheter cette monnaie, ils en augmentent ainsi la demande qui devient supérieur à son offre ce qui fait augmenter sa valeur. On distinguera aussi l’écart d’inflation, si l’inflation est plus faible, la monnaie perdra moins de sa valeur et sera plus demandée. Et pour finir les comportements spéculatifs accentuent les fluctuations de la valeur d’une monnaie. Quand celle-ci voit sa valeur augmentée, les spéculateurs achètent cette monnaie pour la revendre avec profit, elle augmente donc encore plus et inversement.

2. A quels risques économiques peuvent s’exposer les pays qui mènent une politique protectionniste ?

Le protectionnisme vise à interdire ou limiter les importations de biens et services afin de protéger les entreprises et activités nationales de la concurrence extérieure. Cependant la mise en place de telles politiques, qui se font suivant diverses mesures (les barrières tarifaires: droits de douane; normes; barrières non tarifaire: quotas, contingentement; etc), n’est pas sans risque.

Tout d’abord on peut remarquer qu’elles entraînent une moindre croissance de la production, qui s’explique par le fait que le prix proposé au consommateurs est plus élevés que le prix qui prévaudrait en situation de concurrence : ceux ci sont donc pénalisés ce qui pèse sur le pouvoir d’achat de la population qui va réclamer des augmentations de salaires qui fera encore plus augmenter les prix...etc. Cette moindre croissance de la production entraîne une perte de compétitivité, liée à l’absence d’économies d’échelle : la capacité de production est dégradée, ce qui pénalise à la fois la croissance et l’emploi.

Enfin, la mise en place de mesures protectionnistes nuit à la recherche de gains de productivité : isolée de la concurrence, l’entreprise n’est plus incitée à améliorer l’efficacité de sa production. Elle perd ainsi des parts de marché, et donc diminue son niveau d’emploi.

Une politique protectionniste expose donc à des risques, tant sur le marché intérieur que sur les marchés extérieurs, où les effets se conjuguent : des entreprises moins performantes sur leur marché le sont aussi à l’exportation, entraînant une dégradation durable de la balance courante.

Deuxième partie:

Ce documents est un tableau a double entrées qui présente la croissance du volume des exportations de marchandises et du PIB de 2005 à 2012. Ce dernier est issue de l’OMC, statistiques du commerce international, est date de 2013.

D’après le tableau nous pouvons dire que le PIB mondial ne suit pas de façon linéaire le total des exportations mondiales de marchandises. En effet nous pouvons remarquer que en 2006 le total des exportations mondiales de marchandises est de 8,5%, le PIB mondial était lui de 3,5%, Lorsque en 2007 le total des exportations mondiales de marchandises a baissé de 2 points de pourcentages, passant donc a 6,5%, le PIB mondiale lui a stagné, il est resté inchangé. De plus nous pouvons noté que lorsque le PIB à augmenté de 6,5 point entre 2009 et 2010, le total des exportations mondiales de marchandises lui a augmenté de 26 points de pourcentage pour la même période, c’est 4 fois plus.

Dans un second temps si nous regardons le taux de croissance moyen (en %) sur la période 2005 - 2012 nous pouvons voir que le PIB mondial à crû moins vite, avec +2% par an, que les exportations qui ont elles crû de 3,5 % par an. En effet nous pouvons remarquer que les exportations de produits agricoles ainsi que celles de produits manufacturés on crû de 4% par an chacune, cependant les exportations de combustibles et produits d’industries extractives n’ont crû que de 2 % par an.

Pour finir il est a remarquer que de 2010 à 2012 Le PIB à cessé de croître moins vite que les exportations, ce qui peut justifier la stabilisation du taux d’ouverture moyen des économies.

Troisième partie :

La création de la sécurité sociale, en 1945, marque la création de l’Etat providence: en effet on passe d’un Etat-gendarme qui se cantonne à ses fonctions régaliennes (justice, sécurité intérieure et extérieure) à un Etat-providence. Ce dernier se traduit par le développement de la protection sociale et par l'intervention active de l'Etat dans la sphère économique et sociale, de part la volonté de protéger les individus contre certains risques sociaux et de réduire les inégalités. C’est à ces deux titres, que les pouvoirs publics mettent en œuvre une redistribution. Celle- ci vise a modifier la répartition primaire des revenus par des opérations de prélèvements et de reversements de prestations ou la fournitures de services collectifs toujours dans un souci d’équité et de justice sociale. Nous nous demanderons donc quels sont les moyens des pouvoirs publiques pour mettre en oeuvre la redistribution. Dans un premier temps nous étudierons le système de protection sociale, puis nous nous intéresserons au le rôle de la fiscalité dans la redistribution et pour finir nous évoquerons aux services collectifs mis en place par l’Etat.

La protection sociale représente l’ensemble des mécanisme collectifs qui permettent aux individus ou aux ménages de faire face aux conséquences des risques sociaux comme la maladies, la vieillesse, le chômage. Cette protection peut prendre 2 formes: l’assurance et l’assistance. Premièrement, l’assurance ne couvre que les individus qui participent aux financement de la couverture. Les individus et leurs employés versent des cotisations

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