Comment les sociologues expliquent-ils la déviance ?
Dissertation : Comment les sociologues expliquent-ils la déviance ?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar WindDreambeauty • 31 Mars 2016 • Dissertation • 685 Mots (3 Pages) • 912 Vues
« Le quotidien nous expose à d'innombrables écarts de conduite qui, d'une manière ou d'une autre, rompent ce que l'ont tient pour le cours ordinaires des choses » d'après Albert Ogien, sociologue français.
On s'interroge donc sur les causes des déviances. Ils existent deux types de déviances.
La déviance primaire c'est-à-dire la transgression des normes sociales alors que la déviance
secondaire est qualifier par les instances sociales. Comment le sociologue explique-t- il la
déviance ? Nous nous intéressons donc, à la déviance primaire et secondaire.
Tout d'abord, les sociologues expliquent la déviance par les facteurs de la déviance
primaire. La déviance peut être expliquée, dans un premier temps par le rang social de
l'individu. En effet, on remarque que les classes populaires ont tendances à exercer plus
fréquemment des déviances. Dans le document 1, un jeune homme venant d'une cité et
appartenant à la classe populaire se met à voler pour plaire à une fille. Mais cette thèse est
démontrer car la déviance est inciter par le regard des autres individus de la société mais aussi
par le désir de l'individu de vouloir plus de ce qu'il a déjà, lui faisant oublier les règles et ses
repères. Ainsi, dans le document 4, on voit que la « criminalité des cols blanc » se focalisent
sur les élites économique. De plus, le rang social n'est pas le seul facteur de la déviance
primaire. Elle peut aussi s'exprimer par l'anomie, qui est l'affaiblissement des normes qui ne
contraignent plus les individus. On parle de « désorganisation social », car les individus perdent
leurs repères. Il y a donc un affaiblissement des valeurs collectifs et accroissements des
pratiques individuels. Les règles ne sont donc plus aussi contraignante qu'avant, l'individu se
sent plus légitime alors de transgresser les normes car elles ne sont pas rappeler. Dans le
document 3, on parle « d'anomie urbaine », car le contrôle social faiblit et se resserre sur de
petit groupe et les cultures des individus sont désorganiser.
Nous avons définie les facteurs qui entraîne une déviance primaire, nous allons voir
maintenant ceux de la déviance secondaire. La déviance n'existe que si les actes sont étiquetés
comme déviant. La stigmatisation est le fait d'étiqueter un individus soupçonner d'être
déviant ce qui risque d'entraîner sa marginalisation au groupe. Elle est considérer comme un
des facteurs entraînant la déviance secondaire. En effet, dans le document 6, M. Sarkozy
désigne un groupe social « les racailles », ce qui est un stigmate. A partir de cette forme de
pression social les individus, on tendance à vouloir entretenir cette étiquette. Comme on le
dit dans le document précèdent, les jeunes « racailles » cherchent à ressembler à l'image
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