CAS Les secrets de mamie
Étude de cas : CAS Les secrets de mamie. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Anthony Grassigny • 19 Novembre 2020 • Étude de cas • 346 Mots (2 Pages) • 736 Vues
3) Du fait de sa recherche de flexibilité dans le cadre d’une concurrence accrue, l’entreprise Les Secrets de Mamie rencontre un problème de management des ressources humaines qui est le turn-over. Aurore Delmas s’inquiète du turn-over de son personnel, qui commence à augmenter du fait des contraintes horaires. En effet, les salariés ne vont pas restés longtemps dans l’entreprise ainsi cela peut influencer sur l’ambiance de travail mais cela va également engendrer des couts aux niveaux des arrivés et départs dans l’entreprise.
4) Pour adapter les ressources humaines aux besoins de l’entreprise et conforter sa position concurrentielle, Les Secrets de Mamie doit mettre en place des solutions de management pour augmenter sa compétitivité.
Développer la flexibilité en favorisant la polyvalence pour permettre aux salariés d’évoluer vers des postes de management mais aussi pour favoriser la mobilité vers les différents restaurants en France.
En proposant des contrats étudiants pouvant augmenter lors des vacances scolaires par exemple pour les étudiants, prendre des intérims et en flexibilisant les horaires. Puis en ayant une forte présence lors des pics le midi et le soir lorsque le nombre de clients est important. Enfin, proposer des contrats partiels afin de motiver les projets personnels et donc favoriser la mobilité interne mais également externe.
5)Les conséquences en termes de climats social et de qualité de services qu’implique la
mise en œuvre de ces solutions sont :
Les politiques par rapports à la flexibilité sont une bonne chose, comme Aurore
Delmas le dit ces politiques doivent ce mener en préservant la paix social, mais la
flexibilité n’à pas que de bon coter : Elle peut entrainer des périodes de travail qui ne
sont pas régulier. Elle peut engendrer de la précarité chez les employés car les
horaires sont trop variables et dans ce cas là il est parfois impossible de travailler
autre part. L’implication des salariés aux travails peuvent être diminué et on un
risque d’augmentation du turn-over. Dans l’annexe 2 on observe une augmentation
des CDD et donc de la précarisation des contrats de travail. « Adaptation stricte des
flux de main d’œuvre aux aléas de la production » disent les patrons. En clair les
salariés n’ont pas tellement leurs mots à dire.
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