Sommes-nous libre dans nos désirs?
Dissertation : Sommes-nous libre dans nos désirs?. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar ilyana17 • 24 Février 2019 • Dissertation • 1 920 Mots (8 Pages) • 832 Vues
« La liberté consiste à faire ce que l’on désire » Selon John Stuart Mill . Ce philosophe britannique insinue que pour être libre, il faut suivre notre propre volonté sans contraintes extérieur qui pourrait nuire à la liberté de nos désirs , l’homme en effet voit cette liberté le plus souvent comme le synonyme d’être maître de ses désirs . En effet le désir qui est la recherche de l’objet ou le sujet que l’on considère comme étant une source de satisfaction pour nous même serait une des formes de liberté que nous possédons en tant qu’être humain . Cependant opinion serait contradictoire à la liberté car nos désirs peuvent dépasser tout entendements du réalisable et donc se cristaliser pour se réglementer à une instruction de nos désirs étant libre de les réaliser et donc dans la mesure de la possibilité . Cette constatation nous laisse penser que nos désirs sont limités . Il peut aussi être guider par la volonté de la societé et les mœurs qui en suit ; le désir donc ne serait pas forcément de notre propre volonté mais d’une volonté indépendante de ce qui nous entourent. Le libre arbitre qui est la capacité dont dispose la volonté d’effectuer un choix par elle-même , en toute liberté , c'est-à-dire la capacité de se décider pour une chose plutôt que pour une autre serait pour ainsi dire éventuellement guider par nos désirs . la liberté dans nos désirs serait donc baffoués car la plupart de nos désirs s’imposent à nous et les satisfaire revient à ne pas lutter, à s’y soumettre et donc à en devenir esclaves , c’est donc une privation . Il se pourrait que nous agissons avec notre libre-arbitre ou que nous subissons une pression exterieur qui nous empêche de désirer librement . Mais alors dans quel mesure nos désirs sont-ils le résultat de notre libre-arbitre ?
Dans un premier temps nous affirmerons que l’homme est déterminé à évolué en tant qu’être de désir , puis dans un second temps nous réfuterons cette idée avec l’homme détaché et libre , enfin dans un troisième temps nous verrons que l’homme doit avant tout prendre conscience de son libre arbitre .
« le désir est l’essence de l’homme » , à en croire que l’homme est conditionné pour évoluer en tant qu’être de désir . En effet l’homme est sans cesse à la recherche du désir et s’enclave dans sa volonté et en devient esclave . L’âme et le corps sont ainsi dépendant de nos envies . C’est ce que nous pouvons constater avec Spinoza qui nous impose sa théorie du conatus . Le conatus est désir d’être : l’homme est animé par le conatus. Il à un désir fondamental, celui augmenter sa puissance d’être. C’est par l’Ethique, c’est-à-dire par la pratique de la joie, de l’amour, de la confiance en soi, ou encore de la haine de la tristesse et la peur qu’on passe d’une grande perfection d’être à une moindre perfection d’être. Le spinozisme qui est une sorte de contradction à la liberté de désirer et pourtant vu comme une liberté et la joie car c’est en accomplissant son désir que notre vie peut s’organiser . Il limite les contraintes . Spinoza nous incite à voir le conatus sous une bonne forme « le conatus ne doit pas être interpreté comme tendance à passé à l’existence mais comme tendance à perseverer dans l’existence « , l’homme pour survivre dans la societé doit donc désirer pour se maintenir sous un statut d’existence. Nous ne désirons pas une chose parce que nous jugeons qu’elle est bonne , nous jugeons qu’elle est bonne parce que nous la désirons selon Spinoza . L’homme est donc un automate et C'est donc bien le désir qui produit les valeurs et non l'inverse. La liberté normalement source première de notre volonté serait baffouer par nos désirs qui prends plus d’ampleur que notre liberté . Mais nous pouvons alors dire que le désir anime notre être , notre vivant nous anime .
En effet le désir est un moyen d’animer notre vivant , En effet, seul un être vivant en général peut manquer de quelque chose, cela montre qu’il est en vie. Et un être vivant est animé à partir du moment où ce manque est la cause d’actions pour satisfaire ce manque : le désir n’est autre que l’effort du vivant animé pour satisfaire le manque et donc pour continuer à exister . Mais l’être vivant qui est animé par ses désirs ne peut pas être si libre que ça car ce dernier doit subir le refus de certains désir . Pour Schopenhauer, l'insatiabilité est une des caractéristiques du désir: « le désir satisfait fait place aussitôt à un nouveau désir; le premier est une déception reconnue, le second une déception non encore reconnue ». L'homme à la poursuite de la réalisation de ses désirs est comparable aux Danaïdes tentant de remplir un tonneau sans fond. Tout désir étant mauvais, Schopenhauer, qui est influencé par le bouddhisme, va vers l'extinction du désir . La suppression de nos désirs serait donc la liberté , mais pour cela il faut désirer d’être libre et c’est être encore esclave dans nos désirs . Mais alors si l’homme est determiné à évoluer comme être de désir ce serait une définition paradoxale de la liberté .
La solution serait de voir une idée adequate de son propre desir ce qui est possible grâce à la raison qui est la faculté de comprendre , en effet selon l’ethique , chacun à la pouvoir de se comprendre lui meme et de comprendre ses affects d’une façon claire ssinon totalement , du moins en partie , et il à pour conséquent le pouvoir de faire en sorte qu’il ai moins à les subir » selon l’ethique .
L’homme devrait
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