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Sommes-nous libre de croire ?

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Par   •  17 Octobre 2022  •  Cours  •  833 Mots (4 Pages)  •  580 Vues

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Sommes nous libre de croire ?

Quel besoins les êtres humains cherchent-ils à satisfaire à partir des racines de leurs foi ? Il faut partir du fait que le sentiment commun et immédiat que chacun éprouve est de s sentir libre, et de ce fait chacun peut éprouver au moins intérieurement un liberté de penser et d’agir indépendamment de toute contraintes extérieure ? Par conséquent, cette contrainte inhérente et profondément ancrée en chacun de nous. Les croyances signifient que certaines de nos idées et déclaration sont acceptées comme vraies sans raisons suffisants et claires pour les croire. Ces croyance que nous acceptons passivement car elles nous sont imposées sous forme d’évidences. La liberté signifie que chacun ne doit obéir qu’a lui même ; obéir à sa propre volonté, n’agir qu’a sa guise et être libre de toute contrainte ou force de pressions extérieure.

Ainsi, chacun se sentira naturellement libre simplement parce qu’il croit en sa capacité à prendre de petits et de grandes décision. De plus, en tant qu’homme dans son ensemble, lorsqu’il jettera sur lui un regard réfléchi, il jugera spontanément qu’il est libre et qu’il eut simplement faire ce qu’il veut. Les philosophes en faveur de la liberté humaine et de l’existence du libre arbitre accordent une grande importance à l’expérience intime : « la liberté de notre volonté ».

Le projet philosophique de Spinoza rejette complètement l’idée que l’homme occupe une position privilégiée dans la nature . Spinoza a également critiqué Descartes, qui considérait l’homme comme « l’homme perturbe l’ordre naturel plutôt qu’il ne le crée, qu’il a le pouvoir absolu sur ses actions, et qu’il ne tire sa décision que de lui-même ». Mais le but de Spinoza était de démontrer que les humains, comme toutes choses du monde, obéissent aux lois universelles de la nature. Spinoza ne fait pas exister la liberté dans ces textes, comme dans la lettre à Schuller, dans le décret de la liberté, mais dans la liberté nécessaire ou la nécessité ou la nécessité pleinement comprise qui est la seule nécessité par sa nature ».

Tout comm le comportement animal, ils sont instinctifs, ai-je expliqué, qu’il s’agisse de décision environnementales ou biologique, de comportements et de pensées humaines, qui sont eux même de multiples facteurs que nous négligions le plus souvent dans l’existence et le pouvoir;les facteurs sociaux etc.

C’est pourquoi la critique du libre arbitre par Spinoza consiste à montrer que la croyance en l’existence du libre arbitre est la source d’aliénation (action de concession ou de perte). Selon Spinoza, les gens sont déterminé, mais cette illusion naturelle du libre arbitre détermine que nous ne savons pas que nous sommes déterminés et donc plus certains. « Il n’y a pas plus esclaves que ceux qui se croient libre ».

C’est le désir qui nous fait croire et agir, c’est le désir de reconnaissance et de puissance que le monde a toujours imaginé. Par exemple, un amoureux s’imagine qu’il est aimé pour s’aimer, et un croyant s’imagine qu’il est aimé et qu’il sera sauvé par Dieu pour s’aimer. Mais le désir de réalité, c’est tomber dans le piège de la croyances . Tel est l’homme qui croit en Dieu, qui prend tout ce qui lui arrive comme une expression de la volonté de Dieu, de sorte qu lorsqu’il est atteint par la maladie, il refuse de se guérir réellement, jusqu’a sa douleur et sa mort, Son sacrifice et ce des autres, la condition de sa rédemption. L’existence de Dieu ne peut être niée  par l’expérience de la croyance religieuse, et sans limitations expérimentales et dénégations possibles, et peut conduire aux pires violence au nom de la volonté divine.

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