Lettres à Lucilius

Traduit puis éditer par mille et une nuit en 2002, Les Lettres à Lucilius sont écrites

par Sénèque quelque temps avant sa mort. Il a vécu 69 ans et fini par mourir en 65 après J.-C. sous l’ordre de Néron par un suicide forcé. Il était philosophe, dramaturge et aussi homme d'État romain. Ces lettres sont une discussion privée entre deux hommes, Lucilius et Sénèque. Nous nous situons dans le livre 1, avec des extraits de la lettres 2, 3 et 5. Cet extrait évoque deux grand thèmes le bonheur et le temps, le bonheur est le thème apprécié de Sénèque. Comment les humains peuvent prendre conscience de la notion et valeur du temps ? Sénèque nous raconte alors sa vision du temps et nous dit alors que le temps nous appartient et que pour être heureux il faut en faire bonne usage. Il affirme que nous les humains, nous ne nous rendons pas compte de ce don que nous a fait la nature, que le temps présent est la chose que nous pouvons contrôler. Dans un premier la ligne 1 à 5 montrera que les humains ne saisissent pas la notion de temps puis le reste du texte nous évoquerons la valeur du temps.

Tout d’abord nous allons évoquer la conception de la mort et par la suite la possession du présent.

La conception de la mort se retrouve de la ligne 1 à 5, Sénèque nous le dit sous différentes formes mais toujours avec la perception du temps. Ce segment de phrase :« comprendre qu’il meurt un peu chaque jour ? » renvoie bien à la mort, Sénèque essaye de choquer ces lecteurs en leurs disant que la mort n’est pas contrôlable, chaque jour notre corps se rapproche de la mort. Il nous fait comprendre que nous ne réagissons pas de la bonne manière : « notre erreur est de ne voir la mort que devant nous », Sénèque nous explique ici que l’erreur des humains est de voir la mort que dans le futur, alors qu’enfaite tous les jours du passée appartienne à notre mort. On observe aussi que Sénèque fait aussi cette erreur, en disant le déterminant notre et le pronom nous. Le dernier moment du texte qui se rapporte à la mort est ligne 5 : « la vie passe », en disant ça Sénèque montre encore une fois que nous ne sommes pas éternelles, mais alors comment pouvons-nous faire pour utiliser le temps que nous possédons ?

Petit à petit nous nous rapprochons de la mort, le temps est important et nous ne savons pas l’utiliser correctement, c’est pour cela que Sénèque nous rappelle un chose importante le présent.

Le présent comme la mort se retrouve dans le début du texte, de la ligne 1 à 5. Le présent est un moment dans le temps, on possède une chose que l’on peut contrôler c’est le présent, Sénèque dit à Lucilius qu’il est « maitre du présent » par ces mots il renforce l’idée que nous pouvons contrôler le présent. Sénèque dit alors : « saisis-toi de tous les instants présent », il dit cela pour lui faire comprendre de vivre au présent et de pas se rapporter au passé ou au futur. « A force de remettre à plus tard » « tu dépendras moins de l’avenir » c’est avec ces morceaux de phrase que Sénèque veut montrer à l’humain qu’ils se soucis trop du passé alors que nous ne pouvons plus le changer, plus le diriger, c’est ce qui dirigent les personnes au malheur car elle laisse le temps filé au lieu de se focaliser sur le présent.

...