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Kant et la faculté de juger

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Par   •  17 Octobre 2015  •  Cours  •  541 Mots (3 Pages)  •  1 011 Vues

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Critique de la Faculté de Juger 

Kant

Personne ne sait ce qu’est le beau mais chacun sait ou pressent ce qui est beau, là est le paradoxe, la beauté est universelle mais pas conceptuelle, pas exacte, relève de l’évidence mais pas de la vérité.

spleen de paris de Baudelaire l'étranger= poeme sur beauté. Hô qui aime que nuages. Connait que ça, il aime que ça.

idée que ce qui est beau plait universellement sans concept. 

Kant beauté nat est sup à beauté artistique sinon art est indexé sur autre chose que lui même cad, sc ou progrès. Beauté naturelle = beauté débarrassée non pas de toute finalité mais d’une fin objective, intention précise. Supérieure à beauté artificielle cad beauté que les hô st capables de construire. Beauté construite par hô que si nature donne, dicte implicitement ses propres règles à activité artistique.

Pour revenir aux nuages du poème; plaisir qui le flatte, pas communicable car pas les même gouts. Ce qui est universel ici, c’est le sentiment que nous éprouvons. Sentiment là ait une singularité, si exp de la beauté peut être universalisée c’est qu’elle n’est pas réductible à un plaisir empirique qui satisfait qu’un sujet. Peut se servir des nuages. 

3 signes de cette critique kantienne: -elle est désintéressée: beauté couché de soleil et fesses d’une femme belles car pas même désir du couché de soleil et fesses. Moins désintéressé en parlant fesses. Sépare sentiment beau et agréable. Pas par agréable que c’est beau. Doit y avoir séparation entre j’ai aimé ou je n’ai pas aimé, et c’est beau et c’est nul car subjectif. Si pas désintéressé alors jugement subjectif donc plus objectif et jugement biaisé.

-Définition du beau déduite du second moment, « est beau ce qui plaît universellement sans concept » Beauté peut faire objet d’une universalité non conceptuelle, cad universalité pas garantie par la science.  Aussi idée que beauté donne sentiment d’une finalité sans fin.

Ne s’agit pas de dire ce qu’est le beau puisque personne ne le sait, mais d’élucider les conditions au terme desquels le sentiment de la beauté produit un sentiment universel. Sentiment de quand on est ému par la beauté de quelque chose, on l’est à l’unisson du monde entier, c’est ça qui correspond à aucun concept et que Kant doit construire. Oeuvre d’art produit ses propres normes qui seront transgressées par d’autres oeuvres.

Nuages, deux façons d’envisager le nuage, d’abord en rapport avec notre activité du jour qui nous fait juger par rapport à notre intérêt. Mais Kant nous dit que besoin biaise, transforme et réduit monde à tout ce qu’il nous faut. Nuage doit être vu hors de nos intérêts. Et ainsi voit beauté d’une création de la nature: le nuage. Forme du nuage nous divise aussi, mais pas d’importance tant que d’accord sur le fait qu’il y a une forme. C’est ça qui est universel. 

Emotions sécrétées par une beauté naturelle sont trompées si sont fait d’une beauté artificielle. Exemple: passe devant boulangerie, sent grave bon, on va aller chercher une gourmandise. Or cette odeur n’existe pas, cette odeur sublime est un leurre.

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