Explication de texte Platon, Gorgias

Mateo Arteaga

Terminale “ES”

1 de agosto de 2014

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Note. 15/20

Explication de Texte

Platon, Gorgias.

        Platon dans son texte nous propose deux thèses tout à fait opposés: la thèse de Socrate et la thèse de Calliclès. Cependant, pour bien comprendre son raisonnement il est indispensable de comprendre trois notions qui vont de la main: le bonheur, le désir et le plaisir. Le bonheur comme étant d’un point de départ la satisfaction de tous les désirs, et le plaisir comme étant les différents sentiments d’accomplissement des désirs. C’est Socrate qui nous apprend l’existence de deux genres de vie: une vie de dérèglement et une vie tempérante. La vie d’un homme tempèrent serait représenté par des tonneaux remplis de toute sorte de choses rares et difficiles à retenir. Donc l’homme tempérant serait tranquille avec ses tonneaux remplis. Cependant le mode de vie critiqué serait celui de la vie de dérèglement, où un autre homme avec les récipient percés sera forcé à les remplir “jour et nuit en s’infligeant les plus pénible peines”.

Platon oppose la tempérance et l’hédonisme.

Or Calliclès n’est pas convaincu du tout de la thèse de Socrate qui valorise la vie tempéré. Calliclès nous dit que l’homme dont parle Socrate a lui même remplis ses tonneaux donc il a le droit à profiter de son contenu. D’autre façon ceci ne lui rapporterai aucun plaisir et l’homme sera condamné à vivre dans l’austérité sentimentale telle comme un pierre: vide et sans sans sentiments.

Nous comprenons alors que Platon se pose la question suivante: Une vie dont les plaisirs sont satisfaits, est-elle un vie de bonheur?

Oui ; mais précisez le problème en indiquant les défauts de la sagesse comme les défauts l’hédonisme.

Pour expliquer ce débat il utilise des tonneaux. Du moment où les tonneaux sont vidés, ceci signifie que l’homme a obéit a ses désirs et à peut être trouvé du plaisir. Cependant lorsque les tonneaux restent remplis, l’homme “sage” croie avoir le contrôle totale sur ses désirs.

Pas clair…

Pour l’explication de ce texte nous allons découper le texte en trois parties: “Regarde bien…il est tranquille.” pour l’éloge à la vie tempérante, “L’autre homme…je ne te convaincs pas?”,pour la critique à la vie déréglé et “Tu ne me convaincs pas…son tonneau!” pour l’antithèse et la défense d’une vie des plaisirs.

Oui.

        Nous avons premièrement la thèse Socratique qui nous apprend qu’il existe deux modes de vie tout à fait antithétiques: la vie de dérèglement et la vie d’ordre. Parmi ces genres de vie il y a un qui est une vie de sagesse individuelle. Celle ci est la vie tempérante. Socrate commence par éloger cette vie tempérante qui correspondrai à une vie où on sera austère en sentiments et donc pouvoir éviter d’écouter à nos désirs capricieux…

Dans la première partie du découpage Socrate nous décris moralement à l’homme tempéré. Cet homme pensera avoir contrôle total sur ses désir et sur ses émotions. Il commence par nous parler d’un homme et de ses tonneaux. Socrate nous dit que l’homme va devoir remplir ses tonneaux avec les plus grandes délices tel comme le vin, le miel et le lait. Ainsi, l’homme tempérant va devoir se méfier que ses tonneaux sont sains pour pouvoir éviter la fuite du contenu de chaque un, puisqu’on obtient le contenu de chaque tonneau que par des “maints travaux pénibles”. Nous apprenons alors que l’homme tempérant n’aura pas besoin de “reverser quoi que se soit ni à s’occuper d’eux”, au contraire quand il pense à ses tonneaux il est tranquille.

Or que ce qui voulait dire Platon en réalité en parlant des tonneaux c’est quelque chose de plus profond que des simples tonneaux et des notions de gaspillage, ces objets représentent en réalité la sagesse individuelle. Les tonneaux sont donc le reflet de notre âme. Les tonneaux (et donc notre âme) sont remplis avec les contenus les plus délicieux tel comme le miel, le vin et le lait. On pourrai même les appeler des plaisirs coupables. Mais ces substances sont en réalité les désir les plus profonds des êtres humains. Cependant ces désirs n’ont rien de privé puisqu’au final on désire tous la même chose. En général l’être humain désir les 4 “B”’s du “bonheur”: bien manger, bien bouffer, bien baiser et bien bronzer. Ainsi Platon, depuis le point de vue Socratique, nous dit qu’il a néanmoins “bien d’autres tonneaux” puisque nos désirs ne seront pas exactement pareils à ceux de l’autre personne.

Quels sont ces biens si précieux qui remplissent notre âme ? Qu’est-ce qui est si fondamental pour la raison dans la vie ? Il faut expliquer. (La référence aux 4B est maladroite.)

Mais on apprend que le bonheur ne se trouve pas dans le désir, sinon dans la sagesse individuelle où nos tonneaux resterons intactes. L’homme a donc tous les instruments pour être heureux par soi même et en plus en étant sage. C’est dont nous parle Épicure qui nous dit que si l'homme est malheureux c'est par sa faute, car il a un comportement déréglé. Il nous dit que la nature ne s'oppose pas au bonheur, donc pourquoi l’homme devrait être malheureux?

Lisez le texte ; selon Socrate le bonheur exige des efforts pénibles : pourquoi ? Pourquoi faut-il travailler et souffrir pour être heureux ?

"Le bonheur est simple car le bonheur consiste dans la paix du corps et dans la paix de l’âme”, disait Épicure. Le bonheur consiste à l'absence de souffrance, et le désir ne nous apportera pas le plaisir, mais seulement de la déception et de la souffrance. Le plaisir est trop idéalisé par l’homme, il ne pourra jamais atteindre le plaisir de l’imagination. L’homme se trouvera donc dans un cercle vicieux qui le rendra mal heureux éternellement.

L’argument doit être mieux développé pour être clair…

Cependant Épicure nous propose les quatre remèdes dont trois nous sont indispensables ici: les tetrapharmakos.

Le premier remède c’est rien à craindre de la mort, il faut se libérer de la peur de mourir. Épicure dit que si nous n’avons rien à craindre de la mort c'est parce que quand on meurt, on ne vit plus et donc on ne sentira jamais l'expérience de la mort. C'est absurde de se préoccuper de quelque chose que nous ne vivrons jamais. Nous devons nous préoccuper de la vie, d'avoir une vie heureuse. S'il n'y a rien à craindre de la mort, je libère ma vie en me permettant d'être heureux. La mort nous angoisse, la mort nous prive de notre liberté. En s’angoissant de la mort nous ne sommes plus sages.

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