Être certain est-ce un bon critère pour être dans le vrai ?

Sujet : Être certain est-ce un bon critère pour être dans le vrai ?

Pendant des siècles les hommes étaient certains que le soleil tournait autour de la terre, ce qui s’est avérée faux. On a coutume de dire que même si quelqu’un est certain de ce qu’il annonce, il n’a pas toujours raison ; lorsque l’on pense qu’elle que chose est certain, on suppose que c’est vrai, ce n’est pas toujours vérifié. On peut apparenter la certitude à une forme de croyance. A la différence, il y a certaine certitude qui sont bonne, si l’on est sceptique sur tout point on n’avance pas car on veut tous démontrer ce qui est impossible ou l’on se pose toujours des questions infondé (faut-il que je prenne les chaussettes bleus au lieu des noirs ce matin, ou les « miels pops » a la place des « choco pops »).

La certitude est-elle un bon critère pour être dans le vrai ou bien la certitude est-elle dangereuse et nous mène au faux ?

La vérité correspond aux pensées aux choses réfléchie qui doivent être objectives, au contraire les sentiments ou la certitude, sont des penser, choses ou croyances non réfléchit et donc subjective.

Dans un premier temps nous verrons dans quel sens la certitude peut être trompeuse et nous éloigner de la vérité puis dans un second temps nous verrons dans quel sens la vérité est nécessaire au savoir.

La certitude peut être trompeuse car la certitude immédiate produit des illusions.

Comme l’on peut le voir dans « L’allégorie de la caverne » de Platon, la perception sensible est source d’erreur et d’illusion cela peut se faire par des convictions fausses. La certitude es source d’illusion car ce que l’on voit n’est pas toujours réelle, le soleil ne tourne pas autour de la terre comme on pourrait le croire car on le voie mais cela c’est révéler être l’inverse. Dans l’allégorie de la caverne, les hommes enchainer depuis leurs plus enfance pense que les ombres sont la vérité alors que c’est simplement le reflet de la vérité.

La certitude est trompeuse car elle peut nous enfermer dans des croyances fausses et illusoires.

La certitude a une force qui nous rend difficile d’en sortir.

Le dogmatisme, qui consiste à affirmer une vérité incontestable sans discussion peut nous emmener au fanatisme et nous fermer à toute discussion et donc nous enfermer dans des certitudes parfois fausse et infondé. Dire que c’est vrai sans en avoir de preuve cela date du Moyen Age avec le dogme religieux. Nous nous enfermons dans une vérité qui peut en réalité se révéler fausse.

Mais la certitude est nécessaire au savoir car démontrer demande de sortir du doute

Lorsque nous somme sceptique c’est-à-dire que nous doutons de tous cela nous enferme dans des pensée et nous emmène a douter de tous ce qui est impossible car nous ne pouvons douter de tous à chaque moment car sinon nous ne faisons rien et ne pouvons rien démontrer pour sortir de nos certitude.

Douter de tous a un aspect dangereux car il peut nous amener au nihilisme qui est le fait de ne croire en rien et de nier toutes les valeurs

Douter de tous est impossible en pratique, car l’action présente une certaine urgence qui m’impose de sortir du doute.

En réalité nous avons besoin de preuve ou de démonstration pour accepter des vérités. C’est à dire de critère objectif, pour ce faire nous pouvons utiliser deux grandes démarches. La logique, cohérence qui est une démarche rationaliste qui est le courent qui privilégie la raison humaine comme source de connaissance fiable ; et l’expérience, expérimentation qui est une démarche empiriste, l’empirisme est le courent pour le quel c’est l’expérience qui est source de connaissance.

Pour ce faire nous devons nous appuyer sur des principes fiables, comme les prémices d’un syllogisme, qui utilise deux opérations l’intuition,

...