Push pull
Dissertation : Push pull. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar toto3368 • 9 Septembre 2015 • Dissertation • 401 Mots (2 Pages) • 1 094 Vues
Paul et Thomas
Push pull
L’herbe des sorcières sont d’importants parasites du maïs en Afrique orientale et en Afrique centrale. L’herbe des sorcières retardent la croissance des plants de maïs en se nourrissant de leurs racines et ces derniers deviennent bruns donc ils pourrissent .
L’autre ennemis du maïs est la pyrale du maïs, c’est un petit papillon nocturne qui pondent ses œufs sur la plantes qui se transforment en larves puis en chenilles elles creusent des galeries dans le maïs, les dommages réduisent grandement le rendement.
Au début de l’émission il est dit que les scientifiques avaient découvert une plante qui repoussait les parasites des champs le desmodium et l’herbe à éléphant. Les scientifiques ont fait des expériences à l’aide de ces plantes ils en ont conclue que ces herbes repoussaient vraiment les principaux parasites des champs de maïs .
La stratégie « push-pull » est décrite dans l’émission de radio suivante comme étant une méthode écologique et biologique basée sur une science de haut niveaux dans l’étude des plantes. Pour mettre en pratique cette méthode, les agriculteurs doivent planter du desmodium qui va détruire les racines de l’herbe des sorcières mais cette plante recouvre aussi tous le champs va le protéger de l’érosion et lui procurer de l’azote de plus le desmodium placée dans les rangs du maïs, elle dégage une odeur qui va repousser la pyrales du maïs qui repartirons vers l’herbe a éléphant placée autour du champs. La pyrale aime l’herbe a éléphant qui produit une substance gluante, lorsque la pyrale pond ses œufs sur l’herbe a éléphant les larves meurent à cause de cette substance. D’où le nom de cette méthodes « push-pull »( pousser tirer) Ces plantes serviront a aider à accroître les rendements du maïs et à améliorer la fertilité du sol, mais non seulement elle permet d’éviter la consommation de pesticides et d’engrais ainsi que les OGM mais elle a aussi un aspect économique car cette méthode ne coûte presque rien.
Depuis que les scientifiques ont fait ces expériences, un grand nombre d’agriculteurs au Kenya et d’en d’autres pays ont essayé la méthode « push-pull » pour tenter de lutter contre les insectes nuisibles dans leurs champs. Grâce à eux les agriculteurs comprennent mieux leurs agricultures et peuvent aussi nourrir leurs vaches qui elles aussi augmentent leur production grâce au desmodium et à l’herbe à éléphant. Ce qui augmentera leurs productivité et donc les enrichiront
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