Le proche et le Moyen-Orient: zone de conflits depuis 1918
Cours : Le proche et le Moyen-Orient: zone de conflits depuis 1918. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Amy Highwind • 18 Novembre 2017 • Cours • 2 058 Mots (9 Pages) • 1 209 Vues
Le proche et le Moyen-Orient: zone de conflits depuis 1918
Sur le plan géographique les Européens en particulier, les Français, désignent par « Proche Orient » les territoires de l’Asie les plus proches de la Méditerranée. Ils s’agit donc par exemple de pays comme l’Egypte ou la Turquie. L’expression « Moyen-Orient » désigne le spays situé plus à l’Est
jusqu’au frontières du Pakistan; par exemple l’Iran ou l’Arabie Saoudite.
En 1918, l’empire Ottoman disparaît après avoir pendant plusieurs siècles contrôle une grande partie des territoires de la région. Cette disparition ouvre une période d’instabilité marqué par un grand nombre de conflits, ce terme pouvant renvoyer à différents type de confrontations violentes (guerre civile ou guerre entre état, mais aussi soulèvement plus ponctuel). Cette région apparaît comme une mosaïque de peuple, par ailleurs elle a une position de carrefour en hydrocarbure très convoités, ce qui provoque l’inter de puissance extérieure à la région pour celle-ci.
On peut donc se demander comment de 1918 à nos jours s’articulent les facteurs externes et internes à la région pour expliquer les conflits nombreux qui s’y déroule. Dans un premier temps, de 1918 à 1956 les tensions sont très liées à l’essor de mouvements nationaliste qui s’opposent à la volonté de deux puissances européennes, la France et l’Angleterre de contrôler la région. Ensuite, de 1956 à 1991les conflits s’inscrivent désormais dans un contexte mondiale marqué par la guerre froide. Enfin depuis 1991 la plupart des conflits intègrent une forte dimension idéologique et religieuse.
Les conflits de 1918 à 1956
La région apparait comme une mosaïque sur le plan ethnique et religieux.
Sur le plan ethnique en effet on a des populations arabes, perses, turques, juives et kurdes pour ne citer que les principaux groupes.
Sur le plan religieux, les 3 grandes religions monothéiste sont présente; les chrétiens représente ainsi un peu près 50% de la population dans un pays comme le Liban aujourd’hui et il y a de fortes minorités chrétienne dans certains pays comme l’Irak.
Le judaïsme est présente surtout dans l’état actuel d’Israël mais il y a également des minorités juives dans de nombreux états de la region.
La religion dominante est l’islam qui se divise en 2 branches principal, les Sunnites et les Chiites. Les Chiites sont surtout présent en Iran (plus de 90% de la population) mais on trouve aussi des musulmans Chiites en Irak et en Syrie surtout. Dans les pays comme la Turquie mais aussi l’Egypte ou encore les états de la péninsule arabique c’est l’islam Sunnites qui domine.
A la fin de la premiere guerre mondiale, l’empire Ottoman disparaît et laisse la place à plusieurs unités politique. Le sort des territoires qui appartenait à cette empire est largement réglé en fonction de la vision qu’ont les français et les britanniques.
Le traité de Sèvres signée en 1920 prévoit ainsi la création d’une Turquie mais quit pert son influence sur le territoires arabes. Ces territoires sont confiée pour la plus part une mutuelle française ou britannique dans le cadre de la SDN afin qu’ils puissent à terme devenir indépendant par exemple la Syrie passe sous contrôle français, la France crée alors l’état du Liban détacher de la Syrie. L’Irak passe sous tutelle britannique. Se traité tente également d’imposer l’idée d’un état pour les population kurdes de la région en application du principe du droit des peuples à disposée d’eux même.
Cependant, ce project d’un état kurdes est très vite remis en cause car en Turquie le régime de Mustafa Kemal s’oppose à cette création et engage une politique de force à l’égard des occidentaux qui aboutit à la signature d’un nouveau traité, le traité de Lausanne en 1923 qui fixe les frontières de la Turquie en incluant une grande partie du territoires peupler par des Kurdes. A l’issue du traité de Lausanne, il y a plus d’état Kurdes et les populations de cette ethnie sont repartie sur el territoire de plusieurs états (la Turquie, l’Irak, l’Iran et la Syrie). Cette situation constitue une frustrations pour les nationaliste kurdes qui voulait crée un état.
Les années 1920, sont globalement marquée par la région par les courants nationalistes, les franco-britanniques avaient encourager le développement des idées nationalistes chez les peules pendant la première guerre mondiale lorsque cela servait leur interêt contre l’empire Ottoman. Le nationalisme arabes à été stimulée, par ailleurs les anglais ont promis au juifs que si l’empire Ottoman disparaissait, l’émigration juives d’Europe vers la Palestine serait favorisé. La Palestine passe sous le contrôle britannique et le courant migratoire des juives qui quittent l’Europe s’intensifie. Le courant nationaliste juives (le sionisme) se développe donc en Palestine et réclame la création un état juif, ils se heurtent alors au nationaliste. De façon plus générale, se développement des courant nationaliste conteste la situation issue de la premiere guerre mondiale qui donne une grande influence à la France et à la Grande-Bretagne sur la région. Pour essayer de calmer ces sentiments nationaliste, les anglais accorde par exemple l’indépendance à l’Irak dans les années 1930, mais les compagnies anglaise qui exploites le pétrole de l’Irak garde une grande influence dans ce pays, si bien que beaucoup de nationaliste ne sont pas satisfait. Les tensions liées au movement nationaliste sont particulièrement vive en Palestine. Des groupes extrémistes juives et arabes utilisent le terrorisme pour lutter contre les autres.
Les tensions s’accentue en Palestine au lendemain de la Seconde guerre mondiale car après la Shoah de nombreux rescapées des camps nazis s’installe en Palestine, par ailleurs après la Shoah, l’idée de la création d’un état juives apparaît légitime. Face au terrorisme juive et arabes, les anglais finissent par abandonner leurs tutelle sur la Palestine et ils confient à l’ONU le soin de trouver une solution de partage de la Palestine permettant de trouver une solution convenante à la fois au juives et au arabes. Les nationalistes des deux cotes s’oppose sur la question de la délimitation des frontières entre zone arabes et zone juives et en 1948, le leader juif David Ben Gourion proclame unilatéralement la naissance de l’état sans respecter les partage proposer par l’ONU cette decision
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