L'évolution de l'espace périurbain autour de Caen
Étude de cas : L'évolution de l'espace périurbain autour de Caen. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Amandine Coupet • 24 Février 2017 • Étude de cas • 623 Mots (3 Pages) • 2 535 Vues
Beaucoup de caractéristique ont joué un rôle clef dans l’urbanisation de la France, tel que l’industrialisation qui a durée de 1820 à 1830, sa transition démographique en 1931 ou encore l’immigration des pieds-noirs en 1962. Le nombre d’habitation individuel et commune a augmenté formant de nombreuse villes. Elles occupent aujourd’hui 20 pourcents du territoire, et 77 pourcents de la population devient urbaine.
Caen comme d’autre ville a connu cette modification. Des cartes topographiques des alentours de la ville prise par l’Institut géographique national permettent de saisir les mutations de l’espace rural. Pour accentuer l’évolution entre les extraits des atlas, ceux-ci on était pris sur deux périodes distinctes (1969 et 2008) et à la même échelle (1/25000).
La première carte nous présentera l’espace agricole qu’était Caen avant l’urbanisation puis la deuxième dévoilera l’évolution des deux villages présent sur les documents.
La Normandie est une région connue pour son activité économique principalement agricole, c’est d’ailleurs ce que montre la première carte de 1969, avec ses nombreux espaces agricoles représentés en un figuré de couleur blanche qui occupe à peu près tout l’atlas. Mais nous pouvons tout de même remarquer quelques autres activités économiques comme le tourisme avec les espaces naturels reproduits en un figuré de couleur vert et la foire d’exposition.
Les villes ne sont pas très développées, elles sont considérées comme de simples villages ruraux puisque Bretteville-sur-Odon n’atteint que 2700 habitants et Louvigny seulement 1000 louvinois. Le nombre d’habitant dans la périphérie de Caen, en 1969, ne s’élève qu’a 3700 français.
On y voit peu d’habitations résidentielles individuelles et encore moins d’habitations résidentielles communes. Elles sont parfois isolées par des espaces boisés ou des champs.
De plus, les réseaux de communication sont classiques, il y a des voies ferrées et quelques grands axes routiers.
En 1969, les alentours de Caen étaient un espace rural avec une zone agricole concentré sur toute la région.
Mais en 2008, la seconde carte montre une évolution importante des deux villages. Ils s’urbanisent. L’espace agricole diminue et se concentre au Nord-Ouest de la ville de Bretteville-sur-Odon qui a atteint 4000 brettevillais et autour de Louvigny qui reste un village puisque sa population n’a augmenté que de 800 habitants. Les villages entament ainsi un processus de périurbanisation, les lotissements se construisent dans la campagne comme les communes de « Mesnil » et « Rocreuil ». Elles sont reliées aux grandes villes par des routes tracer en un figuré linéaire orange et d’autres réseaux de communications se créent comme les pistes cyclables ou se développent tel que l’aménagement des routes DR36 ou GR221C.
Mais les activités et les habitats aussi se transforment, il y a maintenant beaucoup plus d’habitats résidentiels et des zones d’activités où des entreprises de la collectivité territoriale de Forques se sont installées avec d’autres fabriques dans l’Ouest de Bretteville-sur-Odon. Elles sont représentées en un figuré ponctuel bleu.
Les activités économiques changent, elles deviennent principalement touristiques grâce aux nombreuses chambres d’hôte tel que : « Le manoir de La Baronnie » et « le Bas manoir ». L’accroissement des loisirs dans les villes attirent plus facilement les touristes avec le « Parc des expositions », le « Zénith », un « centre équestre » et un « parcours sportif » et la possibilité de faire du canoë sur l’Odon.
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