Belle époque

La Belle Époque

1.La montée de la gauche

Il y a une crise économique.On légalise l’action syndicale mais Le 1er mai 1891, à Fourmies, lors d'une manifestation de grévistes, la troupe tire sur la foule, Au sein de la C.G.T(=plus ancien formation syndical, Confédération générale du travail)on regroupe plusiers syndicats.Carnot ,président de la République,est assassiné par l'anarchiste Caserio.

L’anarchie:rien n’est en ordre,le refus de tout hiérarchie.

Il y a une méfiance vis-a-vis au monde politique a cause de l’affaire de la Compagnie du canal de Panama.Aux élections de 11893 on assiste a un véritable renouvellement parlamentaire.Le rapport de forces est définitivement favorable a la République.La pression ouvriere et socialiste augmente.,le gouvernement devient modéré. Emile Zola participe á la fondation de S.F.I.O ( section francaise de l'internationale ouvriere) et apparait le 1er  journal quotidien, L'Humanité.

2.Radicaux et modérés

Au miliieu des années 1890 on resent le danger de coup d’Etat.On regroupe la gauche républicaine et des modérés pour 3 ans.En 1899 E.Loubet devient président de la République et Waldeck-Rousseau devient le président du Conseil.Ils créent l’Alliance démocratique contre le Bloc des gauches.

Aux élections de 1902 la gauche remporte la victoire .

Émile Combes ,président du Conseil et ministre de l'Intérieur et des Cultes il mène une politique anticléricale brutale.En 1905 il démissione et le bloc est disloqué.

Clémencaux:devient ministrede l’Intérieur et entre 1906 et 1909 le président du Conseil.Il fait des réformes sociales.

Artistide Briand:il fait modération et adopte la retraire ouvriere.

La politique religieuse

Léon XIII fait appel au ralliement a la République. Le 9 décembre 1905, le député socialiste Aristide Briand (43 ans) fait voter la loi concernant la séparation des Églises et de l'État. Sur le plan financier, la loi a deux conséquences majeures :

– Les ministres des cultes (évêques, prêtres, pasteurs, rabbins...) ne sont plus rémunérés par l'État et celui-ci se désintéresse totalement de leur nomination,

– Les biens détenus précédemment par les Églises deviennent la propriété de l'État mais celui-ci se réserve le droit de les confier gratuitement aux représentants des Églises en vue de l'exercice du culte.

3.L’affaire Dreyfus

En 1894 on découvert un mansucrit transmettant aux Allemands des secrets militaires. Alfred Dreyfus est accusé d'avoir livré des documents à l'Allemagne ,il est le figure coupable idéale:il est juif; il proteste en vain de son innocence. Le 22 décembre, Alfred Dreyfus est reconnu coupable de haute trahison qui le condamne à la dégradation et à la déportation dans île du Diable au large de la Guyane.

Eszterházy n’était pas soupconné ,il était acquitté en 1897.  Émile Zola publie dans l'Aurore du 13 janvier 1898 sous le titre « J'accuse... ! » une lettre ouverte au président Félix Faure, dans laquelle il attaque violemment l'état-major qu'il accuse d'avoir condamné Dreyfus sans preuve. En 1899 il y a une nouvelle condamnation de Dreyfus.En 1906 le gouvernement de Waldeck-Rousseau va libérer et réintégrer Dreyfus.

L'opinion se divise. À gauche, les dreyfusards, invoquant les droits de l'homme, la liberté individuelle, la recherche de la vérité et de la justice, réclament la révision du procès.

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