Analyse argumentée en histoire
Cours : Analyse argumentée en histoire. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Samy Ben-othman • 2 Mars 2017 • Cours • 959 Mots (4 Pages) • 1 156 Vues
Analyse argumentée en histoire
Ce texte est extrait du livre Mémoire d’outres tombe écrit par Francois René de Châteaubriand. Mémoire d’outre tombes a été publié en 1848. Dans ce texte Chateaubriand fait le récit de ses souvenirs durant sa vie passant de son enfance ,à la Révolution en passant par son voyage en Amérique et en finissant avec Napoléon. Cet extrait traite des sénces à l’Assemblée naionale constituante d’après le titre. Il raconte ainsi à travers le texte comment se déroule une séance quotidienne à l’assembléee nationale.
Après la lecture du texte nous pouvons alors nous poser la question de Comment les Français font ils l’apprentissage de la politique sous la Révolution. Nous allons répondre à cette questions. Nous allons répondre à cette question toutd’abbord avec les francais font l’apprentissage de la politique sous la révolution suivant des formes multiples, mais ensuite cet apprentissage se fait dans un contexte difficile qui crée des tensiosn.
Les Français font l’apprentissage de la politique sous la Révolution suivant des formes multiples comme nous pouvons le remarquer à travers ce texte. On remarque les Français font l’apprentissage de la politique par l’orale (par la voix) et l’audition. Les francais assistent aux séances de l’assemblée nationale dans les tribunes : : « Les séances de l’assemblée nationale offraient un intérêt dont les séances de nos chambres sont loins d’approcher, on se levait de bonne heure pour trouver place dans les tribunes » (ligne 1 à 2). Mais les Français se permettaient d’intervenir dans les débats durant les séances : « On se parlait pour ou contre ; tout le monde improvisait bienou mal, les débats devenaient orageux ; les tribunes se mêlaient à la discussion, applaudissaient et glorifiaient ; sifflaient et huaient les orateurs » d’après le texte.
Mais les Fracais apprenaient la politique sous la révolution par l’écrit. Le peuple francais signaient des pétitions pour exprimer leur avis et soutenir des idées politiques : « Le vicomte de Mirabeau et Lautrec et quelques autres nobles voulaient donner l’assaut aux tribunes. Bientôt ce fracas était étouffé par un autre : des pétitionnaires armés de piques paraissaient à la barre » d’après le texte.C’est ce que l’on appele le droit de pétition.
Et le peuple Français apprenait la politique par le vote. L’auteur ne parle pas du vote comme moyen d’apprentissage de la politique. Or le vote, et les élections ont été très importantes une vingtaine d’ élections sont organisés ou crées de 1789 à 1799, et 1 millions de postes électifs ont été crées. Les Français obtiennent le droit de vote en 1789 cependant il est censitaire ( c’est à dire payant) et réservés aux hommes.Cependant en 1793 le suffrage devient universel masculin. Puis en 1794 les noirs des colonies obtiennent le droit de vote avec l’abolition de l’esclavage. Ils obtiennent également le droit d’éligibilité comme nous pouvans l’observé dans ce texte : « les députés arrivaient en mangeant, causant, gesticulant ; il se groupaient dans les diverses parties de la salle selon leurs opinions. » «« Le présidant agiter sa sonnette ».
On remarque dans le texte de Chateaubriand que les femmes participent à la politique les dames de la Halle, tricotant dans les tribunes, l’entendirent, l’écume à la bouche : « A la lanterne ! » d’après le document. C’est également les femmes qui ont ramené la famille royale au Palais des Tuileries à Paris. Le texte ne parle point d’un grande femme en politique qui a participé activement à la Révolution : Olympe de Gouges (alias Marie Gouze) Face à l'Assemblée Constituante qui exclut les femmes des droits de cité, elle publie un texte qui est l'un des fondements du féminisme originel, "Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne". Elle y prône l'émancipation de la femme et l'égalité totale et inconditionnelle entre les deux sexes. Olympe de Gouges est considérée comme l'une des premières féministes. Dans d'autres écrits, elle s'en prend à l'esclavage et à la peine de mort.
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