TRAVAIL PRATIQUE 1

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À CHICOUTIMI

DÉPARTEMENT D’INFORMATIQUE ET DE MATHÉMATIQUE

TRAVAIL PRATIQUE 1

Présenté à

Monsieur

Dans le cadre du cours

8ASY109 : SYSTÈMES D'INFORMATION ORGANISATIONNELLE

Du trimestre Automne

Réalisé par

Le lundi

Table des matières

Partie1 : Résumé du chapitre 4 : Les aspects éthiques et sociaux des systèmes        3

d’information de gestion        3

I.        Comprendre les questions d’ordre éthique et social associées aux systèmes d’information :        3

II.        L’éthique dans une société de l’information        4

III.        Les dimensions morales des systèmes d’information        5

1.        Le droit à l’information : le respect de la vie privée et la liberté à l’ère d’internet :        5

2.        Les droits de propriété : La propriété intellectuelle        6

3.        La responsabilité organisationnelle et civile et le contrôle        6

4.        La qualité des systèmes : la qualité des données et erreurs dues aux systèmes        6

5.        La qualité de vie : l’équité, l’accès et les frontières        6

Partie 2 : Sujet de discussion # 2, chapitre 4        7

Partie1 : Résumé du chapitre 4 : Les aspects éthiques et sociaux des systèmes

                    d’information de gestion

1. Comprendre les questions d’ordre éthique et social associées aux systèmes d’information :

Selon Laudon, ``le terme éthique désigne les principes du bien et du mal que les agents moraux libres utilisent pour guider leurs choix en matière de comportement``. Tous les jours, les dirigeants des entreprises doivent faire des choix et des décisions impliquant des questions d’éthique, surtout avec l’apparition des nouvelles conditions de changements sociaux et la menace de la répartition existante du pouvoir, de l’argent, des droits et des obligations, crées par les systèmes d’information.

La montée des nouvelles technologies de l’information bouleverse l’ordre partiel existant dans les organisations (Familles, entreprises, administrations), et fait apparaitre de nouvelles questions d’ordre morales, sociales et politiques. Ces interrogations contiennent cinq dimensions morales de l’ère de l’information, à savoir les droits et obligations liés à l’information, les droits et obligations relatifs à la propriété, la responsabilité organisationnelle et civile et contrôle, la qualité des systèmes, et la qualité de vie.

En effet, l’étude des normes sur lesquelles se fondent les décisions et les comportements, a illustré que des problèmes d`éthiques ont été renforcé avec la technologie. L’accroissement de la puissance des ordinateurs, la progression des capacités de stockage de données et l’amélioration des techniques de réseautage (Internet), ainsi que le perfectionnement des techniques d’analyse, expliquent les principales tendances technologiques qui influent sur l’éthique.

1. L’éthique dans une société de l’information

Trois catégories de facteurs influencent sur l’éthique dans une société de contemporaine l’information :

• L’éthique personnelle qui représente l’ensemble des règles de conduite que se fixe une personne. Les valeurs que défend celle- ci varient selon sa formation morale.
• L’éthique organisationnelle, se définit comme l’ensemble des règles de conduite internes définies par des entreprises, systèmes et institutions, et que les employés doivent respectés.
• La responsabilité civile qui est la manière d’appliquer des règles et des lois à la conduite des affaires.

En cas d’une situation qui produise un problème d’éthique, on peut adopter un processus en cinq étapes pour l’analyser :

• Déterminer clairement les faits
• Définir le conflit ou le dilemme
• Reconnaître les parties prenantes
• Explorer les solutions raisonnables
• Déterminer les conséquences des différents choix

Après l’analyse, et avant de prendre toute décision, il est utile de prendre en considération six règles ou principes d’éthiques :

• La règle d’or, à savoir se mettre à la place des autres.
• L’impératif catégorique de Kant, je cite :« il faut se demander : si tout le monde agissait de la sorte, l’organisation et la société pourraient-elles survivre ?»
• La règle de la pente fatale de Descartes, qui est le fait d’éviter un bon geste qui provoquera des changements intolérables à long terme, s’il sera répétitif.
• Le principe de l’utilitarisme, qui se résume au choix de l’action qui génère le maximum de bienfaits ou les bienfaits ayant un maximum de grande valeur.
• Le principe du risque minimum, qui se traduit par le choix de l’action qui génère le minimum de dommage ou celles les moins coûteuses.
• Le principe «du rien n’est gratuit».

De nos jours, les organisations (entreprises, associations et ordres, etc.) ont adoptés des codes d’éthiques ou de déontologie, dans lesquels sont présentées les valeurs et les règles de conduite auxquelles l’organisation se conforme en matière d’éthique.  

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