Prologue juste la fin du monde

Étude linéaire :

Mouv 1 : début- « vous vous détruirez d’aussi tôt » :

- annone futur=prolepse, annonce des faits qui se produiront plus tard

- annonce énigmatique de la suite : à la manière d’une tragédie grecque(ici, il s’agit de sa mort)

- ancrage temporel du « maintenant » → csqs dramatiques de la mort, répétition du vb mourir

- distorsion temporelle ; emploi de l’adverbe temporelle maintenant et du futur dans la même phrase

- vers à 4 syllabes (l’année d’après) anaphorique dans la tirade → action du destin, fatalité au visage de la maladie

- ironie tragique : après la mort du christ, résurrection= mort prochaine

- temps une force tragique : champ lexical du temps →implacabilité d’un temps dévorateur(tire vers mort)

- Louis gagné par l’immobilité : « j’attendais », « ne rien faire » →immobilité funeste

- habité par la négativité : champ lexical de la négation → teps fermé, monde clos

- perturbation de la syntaxe de la tirade : anaphore « l’année d’après », maladie et mort perturbe la syntaxe empêchant tout sens

Mouv 2 :

- retournement de situation: répétition de malgré tout→mène un combat en allant envers ses proches

- héro tragique : « risque » « sans espoir » →fait signe vers l’épopée en sachant sa fatalité

- polysémie : « faire le voyage » = déplacement physique mais aussi euphémisme de la mort

- repousse la mort: un voyage inversé, remonte dans le temps, retour au giron familiale

- la manière don il annonce : - lentement avec soin

- théâtre dans théâtre : répète plusieurs fois, se prépare (adverbe de manière)

- « posé », sérénité mais aussi préfigure la position du corps dans le cercueil

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