Paques à New york vers97-130
Commentaire de texte : Paques à New york vers97-130. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar caplrcl • 13 Mai 2018 • Commentaire de texte • 872 Mots (4 Pages) • 2 511 Vues
Commentaire littéraire de la ligne 97 à la ligne 130
Les Pâques à New York est un long poème publié à l'origine sous le nom de les Pâques aux hommes nouveaux. Il s'agit du premier texte publié de Cendrars ce n'est qu'en 1919 que ce poème connaître à son titre définitif celui que nous connaissons aujourd'hui. En 1912 quand Blaise Cendrars écrit ce poème la guerre ne tarde à venir de nouvelles population se crée entraînant une forte émigration vers les États-Unis qui semble pour les européens être un pays parfait. C'est dans ce contexte qu’arrive une certaine révolution dans les domaines de la musique de la peinture ou encore de la poésie. C'est de là que Cendrars décide de partir à New York en avril 1912 durant la période des fêtes chrétiennes. Cendrars est donc un poète aventurier puisque ses poèmes sont la source de sa poésie. Frédéric Louis Sauser de son vrai nom était franco-suisse né en 1887 et mort en 1969 C’était un grand poète du XXème mais aussi romancier journaliste. Dans ce poème on retrouve deux parties distinctes tout d’abord la promenade puis l’évocation des sentiments. Cela nous mène donc à nous poser : Comment Cendrars parvient-il à unir ces deux mots dans un même poème? C'est ce que nous verrons en étudiant la promenade du poète dans la ville puis nous analyserons l’évocation de ses sentiments
Dans ce poème on observe une promenade où l'on distingue deux quartiers bien différents celui des voleurs avec les banques “je suis dans le quartier des bons voleurs” V.97 et l’autre celui des spectacles “ au musiciens” v.105“ au violoniste”v.106 “à la chanteuse”v.106 le poème est écrit au présent. Nous suivons Cendrars dans sa déambulation. Ici, nous allons s'intéresser à Cendrars dans sa promenade. Tout d’abord elle se passe le soir le poème évoque l'obscurité qui envahit les rues “ la rue est dans la nuit “ la lumière évolue au fils de la promenade et du temps “ l'étoile qui disparut alors du tabernacle” puis “lumière crue” des Quartiers des spectacles puis seulement l'ombre “ ombre que les maisons projettent ensuite durant cette balade. Cendrars croise sur son chemin différentes populations de New York qui rythme sa promenade il écrit deux types de quartiers d'abord un quartier qui semble déplorable mais tout même chaleureux. Il donne une impression de nombres grâce à une énumération et allitération en “V” je suis dans le quartier de bons voleurs, des Vagabondes, des va-nu-pieds, des recéleurs” ce vers donne une impression une galerie de portraits avec des visages qui se complète”. On remarque que cette rue est très mal éclairée mais le poète n'éprouve à leur égard ni cœur ni dégoût. Ensuite durant son trajet il visite le quartier des spectacles à ce moment-là le ton de Cendrars devient plus haineux on le remarque des vers 113 à 121 comme au vers 120 “où c’est coagulé le sang de votre mort”. De plus dans ces différents vers on voit l'opposition entre l’argent (“ pleine d’argent”) et la lumière (“illuminée”) avec la pauvreté (“désertes”) et l’obscurité (“étoile disparu” mais dans ce passage encore aucune émotion de Cendrars.
Tandis que pour finir cette dernière partie
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