Mise en scène d’un Jour d’été par la compagnie Mesnie H.

George Taboris dramaturge de la pièce Un jour d’été. A Budapest, un jour d’été de l’année 1944. Esla Taboris, mère de George Taboris est arrêtée par la police alors qu’elle voulait se rendre chez sa sœur Martha, les policiers la conduit à la gare, là où se trouvent quatre mille juifs qui attendent le train afin de se rendre à Auschwitz.

Comment les éléments de la mise en scène d’un Jour d’été par la compagnie Mesnie H. reconstruit-ils le parcours dramatique de la mère de Taboris, ainsi que l’atmosphère tragique de l’extrémiste ?

Cette pièce est mise en scène en par Emma Massaux et joué par trois jeune femmes Joséphine Hazard Emma Maussaux Marie Paillat. Elles mènent l’enquête et retrace la journée incroyable d’Elsa Taboris. Durant cette représentation de multiple personnage intervient : la mère, les policiers, Marta Cornelius Taboris l’officier, …

Ces personnages sont endossés tour à tours par les 3 comédiennes qui deviennent chacune protagonistes de l'histoire. Je trouve que chacune des comédiennes jouent très bien leur rôle on les entendait très bien, leur ton était adapté en fonction des émotions qu'elle ressente. Elles ont mis en place des décors, elles ont utilisé les accessoires comme les gants, la valise, le chapeau. Le gant servait à différencier le rôle de chaque personnage. L'éclairage était ajusté en fonction des scènes des actes. L’utilisation du projecteur servait à mettre en avant les personnages importants. Les comédiennes portaient des costumes les années 40 elles avaient un maquillage naturel. Elles ont respecté les bienséances elles n’employaient pas souvent le registre familier. Elles ont utilisé l'unité de temps l'intrigue s'est déroulée en une journée. La pièce est jouée avec le même décor même si le lieu là où l'intrigue se déroule change. Il y avait des personnages qui jouait hors de l'espace scénique cela nous approuvé un sentiment de rapproche, on ressentait que l'on faisait partie de l'intrigue. Nous avons apprécié cette pièce, elle nous faisait ressentir des émotions de tristesse qui faisaient appel au registre pathétique et tragique.

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