Les startups en Suisse
Commentaire de texte : Les startups en Suisse. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar Lalie1203 • 21 Mai 2019 • Commentaire de texte • 5 241 Mots (21 Pages) • 780 Vues
Les startups en Suisse
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Maitre accompagnant : Mme Susan Broda
Table des matieres
I. Présentation personnelle 3
II. Choix du sujet 3
III. Introduction 3
III.a Définition 4
III.b Contexte 4
III.c Acteurs 5
III.d Problématique 5
IV. Types d’investisseurs 5
IV.a Love Money 5
IV.b Business Angels 6
IV.c Cycle de vie d’une startup. 7
IV.d Aide aux startups 8
V. Distinctions entre les entreprises classiques et les startups 8
V.a Uber 8
V.b Airbnb 10
V.c PayPal 10
VI. La Silicon Valley équivalente en Suisse 12
VI.a La Silicon Valley 12
VI.b En Suisse 12
VII. Contraintes légales, fiscales et sociales 13
VII.a Avantages pour les startups suisses 13
VII.b Désavantages 14
VII.c Une prospérité éternelle ? 15
VIII. Conclusion 16
IX. Apport personnel 17
X. Remerciements 17
Présentation personnelle
Je m’appelle Laureline Larraz, j’ai 18 ans et je suis élève de troisième année à l’école de commerce d’André-Chavanne. Auparavant, j’ai étudié au collège Rousseau jusqu’en deuxième année. Mon changement d’orientation a été induit par certaines de mes notes, ainsi que par mes centres d’intérêts. Cependant, j’ai pu accéder directement à la deuxième année d’école de commerce grâce à mes résultats obtenus au collège.
Choix du sujet
Le mécanisme de création d’une entreprise m’a toujours intriguée. Les débuts me paraissent très compliqués. Sans contact, sans expérience, sans financement, l’envol peut paraître effrayant, voire impossible… Cette problématique m’a d’abord amenée à réfléchir sur le sujet du Greenwashing. Cette problématique traite des entreprises qui trompent leurs clients, ainsi que le public en général, sur l’aspect écologique des pratiques de leur entreprise. Malheureusement, même si l’étude des implications écologiques dans le cadre du développement d’entreprise m’intéressait par conviction personnelle, je me sentais limitée en matière d’analyse du fonctionnement économique, sur le plan de sa diversité.
De plus, de ma propre expérience, durant mes trajets avec les chauffeurs Uber, j’ai pu dialoguer avec certains d’entre eux. Des histoires de taxes non-payées, de cantons favorables, de guerre avec les taxis officiels ont été des sujets que nous avons souvent abordés, et que j’ai vu repris fréquemment par les media. C’est à ce moment que le sujet des startups dont tout le monde parlait a piqué ma curiosité. Mais de quoi s’agissait-il exactement ? J’ai donc pris la décision de choisir ce thème et de découvrir ce monde inconnu.
Introduction
Dès les années 1920, à Wall Street, les premières « startups », ont commencé à faire parler d’elles. C’est la période de la Radiomania : les investisseurs se ruent sur les sociétés qui diffusent des émissions de radio ou qui fabriquent des appareils de radio.
Ce n’est que bien plus tard, à la fin des années 1990, que l’on commence à utiliser fréquemment le terme de « startup », décrivant ainsi un phénomène de masse qui a littéralement bouleversé le marché des entreprises jusqu’alors florissantes et leaders dans leurs domaines. Les startups se développent alors dans quasiment tous les domaines, tels que la technologie, la pharmaceutique et bien d’autres encore. Tout le monde en parle : gros titres dans les journaux, émissions de télévision, interviews percutantes de jeunes entrepreneurs…
Il s’agit maintenant de nous pencher plus précisément sur ce phénomène historique : de quoi s’agit-il exactement ?
Définition
Startup : « jeune pousse » ou encore « société qui décolle » sont les appellations populaires des entreprises à fort potentiel de croissance, depuis les années 1990. Certes, ladite croissance est extrêmement rapide, mais les risques d’échec sont aussi également élevés.
Contexte
Startups signifie « démarrer » pour le « start » et « fort » pour le « up ». Ce concept a été créé après la deuxième guerre mondiale, lors de la création du capital-risque.
Elles présentent trois caractéristiques inaliénables. Tout d’abord, il s’agit d’une forme d’organisation temporaire. En effet, une startup ne reste pas souvent toute sa durée de vie une startup, les entreprises doivent en règle générale quitter cette étape dans la mesure où elles évoluent de façon positive.
Ensuite, elles sont sans cesse en recherche d’un « business model » industrialisable. On entend par ce terme une « recette » pour obtenir les meilleures manières, moyens, objectifs pour exploiter au maximum le fonctionnement des ressources d’une entreprise. C’est une course à l’efficience contre la montre.
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