Lecture analytique, Eldorado, Laurent Gaudé

LA N°9, LAURENT GAUDE, eldorado chapitre 18, l’ombre de Massambalo.

Laurent gaudé, prix Goncourt des lycéens en 2002 pour la mort du roi tsangor. Dans ses récits les personnages qui pèse sur eux. C’est dans ce contexte que s’inscrit l’œuvre d’Eldorado.  

Le point de vue est interne.

Sur l’ensemble  de l’extrait la scène est vue des yeux de piracci, sauf à la fin on remarque que l’on voit ce que ressent soleiman, mais reste majoritairement interne.

Personnage qui est en pleine réflexion.

Doute de piracci.

Il est dans l’hésitation (L3) « que me reste-t-il ? ».

En plus il ya un doute existentielle laurent gaudé utilise deux type de discours rapportée.

Massambalo est dans l’incertitude, dans le doute, absurde existentielle.

Ce premier discours direct (L3) émet des effets ici ce que ressent le personnage.

Discours indirect libre : (L16-29), (36-37).

Il utilise le discours indirect libre car sa maintient la fluidité narrative tout en gardant la voix du narrateur et ses pensée.

Monologue intérieur dans le roman.

Pensée concernant : le doute.

Topos : thème récurrent.

Mettre du suspens dans la rencontre organisée à partir des 3 questions : (L22-38-81).

C’est comme 3 énigmes qui a chaque fois augmentent la tension.

(L86) isole la phrase moment important au bout de la 3ème fois il accepte.

Pour le personnage c’est un moment de révélation.

Il change de statut.

Révélation que le jeune homme est soleiman.

Le narrateur a donnée un portrait du personnage la rencontre mais donne pas de prénom.

Il donne son identité jusqu’à la L90 où il montre le collier, car seul soleiman a ce collier vert symbolique que lui a donné son frère, et la donne a l’ombre de Massambalo, qui est piracci.

Massambalo est tutélaire (protecteur).

Le  commandant lui donne une lueur d’espoir à soleiman.

Comme on le remarque à la (L86-89), détermination potentielle, coûte que coûte il est déterminer à y arrivé. (L66) forme metaphorique, « souflet sur le desir des hommes pour qu’il grandisse ».

Un piracci rasséréné : soulagé/ rassuré.

Ces trois questions énigmatiques aboutissent à une réponse.

Il ne doute pas de leur chance, cet eldorado.

(L-36) : pourquoi  hésite-t-il ? Car piracci ne croit pas que l’ombre de massambalo existe et qui veut pas lui faire un faux espoir.  

C’est pour lui un risque de le laissé partir et qu’il va peut être mourir.

(L-60) il utilise un retour en arrière (analepse).

(L-70) il a cherché son eldorado mais ce n’est qu’un mirage.

Pracci est dans une sorte d’impasse car il ne sait que faire, faire l’ombre de massambalo et donner un faux espoir ou pas.

(L-88) déférence : respect forcée, très marquée, voir de la soumission.

Pb : que nous apprend cette scène de rencontre ?

1. La scène de rencontre est révélatrice.

1. Scène de rencontre dramatisée (temporalité, 3 question)
2. Identité de soleiman (on le connaissait peu et son identité augmente au fil du texte)
3. Révèle d’avantage sur les personnages.

1. Portrait de piracci

1. Incarne la lucidité et la désillusion.
2. Dans un dilemme délibératif.
3. Terme de sa quête.

1. Valeur de l’eldorado.

1. Espoir, force, courage
2. Tromperie, mensonge, cruauté.
3. Nécessité de la foi : positif, négatif.

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