Le mariage de Figaro, Beaumarchais
Cours : Le mariage de Figaro, Beaumarchais. Recherche parmi 300 000+ dissertationsPar l.dffs • 19 Janvier 2021 • Cours • 573 Mots (3 Pages) • 543 Vues
FRANÇAIS
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QUESTION 1 :
Comment figaro critique-t-il le comte Almaviva ? Comment essaie-t-il de s’opposer à lui ?
QUESTION 2 :
Quelles sont les ressemblances et les différences entre la relation de S et de DJ et celle de Figaro et du comte Almaviva ?
IL critique les privilèges par l’inégalité social « « Parce que vous êtes un grand seigneur, vous vous croyez un grand génie ! » il critique la noblesse « Noblesse, fortune, un rang, des places ! Tout cela vous rend si fier ! » il dit que pour tout avoir il a juste eu besoin de naître « vous vous êtes donne la peine de naître et rien de plus »
Il oppose les valeurs de l’homme et le rang social
alors que lui « tandis que moi »
il oppose sa valeur à la médiocrité du Comte : « Du reste homme assez ordinaire ! tandis que moi, morbleu ! ».il a du faire preuve d'intelligence et de ruse pour ne pas se laisser anéantir lorsqu’il était au plus mal : « Perdu dans la foule obscure, il m'a fallu déployer plus de science et de calculs pour subsister seulement, qu'on n'en a mis depuis cent ans à gouverner toutes les Espagne. »
Dom Juan est Sganarelle sont présentés comme un couple inséparable car ils sont la plupart du temps ensemble dans la pièce comme pour figaro qui sert le comte et sa femme suzanne qui sert la comtesse
dans DJ sganarelle ne peut contredire son maître seulement en faisant semblant de parler de lui c est dj qui a le pouvoir alors que avec figaro il met en avant son intelligence et sa débrouillardise a cause des difficultés q il a vécus dans sa vie c’est figaro qui a le « pouvoir » il se sert de la russe
Si les enjeux sont sérieux, cette folle journée se déroule dans la gaieté et la pièce de Beaumarchais offre toute la palette des registres et des ressorts du comique. On y trouve :
- le comique de situation et en particulier l’utilisation du personnage caché (par exemple, lors de la scène du fauteuil I, 8 et 9, derrière lequel se cachent tour à tour Chérubin et le Comte),
- le comique de gestes (par exemple, les soufflets donnés ou reçus à l’acte final, avec en plus méprise sur la personne : le Comte croit souffleter le page, mais c‘est Figaro qui reçoit le soufflet, V,7),
- le comique de caractères (par exemple, le bégaiement du juge Montbrison à l’acte III),
- le théâtre dans le théâtre (les déguisements entraînent une série de quiproquos à l’acte V et les acteurs se plaisent à contrefaire les autres personnages I, 7 ou V ,8 ),
- le comique de mots (Figaro excelle dans l’art de la répartie et du bon mot, de manière parfois gratuite comme lors de la tirade de Goddam, pur moment de fantaisie verbale, III, 5).
La gaieté apparaît comme le registre dominant de la pièce qui se termine par un vaudeville dont le derniers couplet s’achève sur ce vers : « Tout finit par des chansons ». La gaieté devient même une philosophie de vie : « je me presse de rire de tout de peur d’être obligé d’en pleurer », affirmait Figaro dans Le Barbier de Séville. Quant à Suzanne, Figaro la décrit ainsi : « La charmante fille !toujours riante, verdissante, pleine de gaieté, d’esprit, d’amour et de délices ! »
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