Le commerce dominical, nécessité ou dérive du capitalisme?

I. Introduction:

1. Amorce

2. Problématique: Le commerce dominical, nécessité ou dérive du capitalisme ?

3. Anonce du plan :

a. Thèse : Le commerce dominical – nécessité évoquée par les besoins de la société

b. Antithèse : Le commerce dominical – dérive de la société capitaliste avide de profit

c. Synthèse : Le commerce dominical – caractéristique de la modernité du monde contemporain ou la mode qui passera

II. Développement :

1. Thèse : Le commerce dominical est évoqué par les besoins de la société

a. De plus en plus de gens , comme les étudiants par exemple, à cause de leurs obligations ne peuvent travailler que pendant les week-ends. Cela semble pour eux la seule possibilité de gagner leur vie.

b. L’horaire du travail de plusieurs personnes ne leur permet de faire des courses que les week-ends.

c. La société occuppée de travail pendant la semaine trouve le commerce dominical comme l’opportunité de passer son temps libre avec la famille en faisant des courses. Le "shopping" est l'occasion de se retrouver en famille.

2. Antithèse : Le commerce dominical semble un effet du capitalisme

a. L’ouverture dominicale des magasins de grande surface suscite chez les consommateurs le besoin d’acheter, et par cela les week-ends sont les plus profitables pour les propriétaires.

b. Par le désir de réussir, les propriétaires attendent de leurs employés de travailler pendant le weekend, et ceux-ci, en période de crainte du chômage, forcés par la peur d’être mal vus de leur hiérarchie et d’en souffrir professionnellement, ou de perdre leur emploi travaillent. Dans certains cas, on peut même dire de l’esclavage.

c. De petits magasins essaient, de plus en plus souvent, de s’adapter à l’ouverture dominicale pour attirer des clients et ne pas perdre leurs profits.

3. Synthèse :

Dans l’ère du capitalisme et du consumérisme, il semble impossible d’interdire complètement le commerce dominical. Néanmoins, nous ne pouvons pas dire que l’ouverture dominicale est tout-à-fait mauvaise ou injustifiable. Nous vivons dans le monde moderne qui change constamment, et il semble facile à observer que les gens s'habituent rapidement à tout ce qui est accessible et qui leur facilite la vie, et cela devient pour eux une nécessité. Bien que le commerce dominical soit un dérive du capitalisme, on ne peut pas nier le fait qu’il donne la possibilité à plusieurs personnes de gagner leur vie, ou qu’il constitue même une façon de passer leur temps libre. Le temps s’écoule, les besoins et nécessités changent. Ce qui avant était un rêve irréalisable, aujourd’hui nous n’étonne plus. Les nécessités deviennent une habitude. La société actuelle vit rapidement, et les dimanches devant un écran de téléviseur ne semblent plus une activité intéressante. Dans cette situation, nous pouvons nous demander si nous devrions traiter le commerce dominical comme un des traits

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